Il flotte comme un air Nouvelle Vague sur film, comme souvent dans l'œuvre de Christophe Honoré. D'ailleurs à la manière d'un François Truffaut, il semble bien qu'il ait trouvé son Jean-Pierre Léaud en la personne de Louis Garrel. De plus rarement Paris aura été aussi bien filmé : ni trop belle, ni trop glamour, juste telle quelle est. On peut néanmoins regretter la propension du film à parfois se perdre dans les méandres de sexualité, un peu l'image de son héros…
Mention spéciale à la dernière chanson de Chiara Mastroianni, véritable représentation de la mélancolie.
Fiche technique
Les chansons d'amour
Réalisé par Christophe Honoré
Durée : 1h40
Note 14/20 (avant tout un hymne à Paris)
Vu le 25/05/07