Le livre semble promis au même avenir que la musique ou le film. Un « contenu » dématérialisé.
Le plus curieux dans cette transformation est peut-être le sort des libraires. En, effet, ils étaient bien plus que des distributeurs, un véhicule essentiel du marketing du livre. (Great digital expectations)
Les auteurs vont-ils devoir être plus des marketers habiles que des écrivains talentueux ? Cela nous promet-il quelques décennies de produits littéraires ?