« J’avoue, à ma grande honte, que je commençais à m’amuser à jouer ce personnage, me disant qu’il n’y avait rien de tel qu’une paire de menottes dans son sac pour donner du ressort à la démarche d’une femme. »
Stéphanie Plum est dans la dèche. Plus de job et rien dans le frigo, il ne lui reste plus qu'à devenir... chasseuse de primes !
L'année dernière, j'ai eu la chance de participer à un swap d'anthologie. Parmi les objets de sexytude confectionnés par Tamara, figurait La prime que j'ai eu la bonne idée de lire durant mes vacances.
Oh le parfait petit policier que voilà ! Spontané, drôle, caustique et oui, sexy en diable grâce à l'inspecteur Morelli, mmmmm, Morelli, *soupirs*... (oui, j'ai vraiment soupiré à l'instant). Une lecture parfaite pour une période creuse où le moral n'est pas au beau fixe, un week-end pluvieux, ou simplement après une journée de merde.
Vous êtes là à vous dire que la vie ne vaut pas d'être vécue, et hop ! Un petit Plum et ça repart ! Bien évidemment, je me suis ruée sur la suite et oh ! Scandale, horreur et déception, la suite est... épuisée !! Que fait la police ? Pourquoi n'existe-t-il pas, dans la vraie vie, une brigade littéraire chargée de résoudre ce genre de problème ?
Je lance donc un SOS ! Qui aurait la bonté d'âme de me prêter les suivants en prévention de quelques week-end pluvieux automnaux (j'aurais pu dire quelques journées de merde mais je souhaite appliquer une dose minimale d'optimisme).