Interrogés par le quotidien régional, Le Parisien, les deux présidents s’accordent sur le fait qu’un deuxième grand club parisien est viable : « Même avant l’arrivée des Qatariens au PSG, il y avait la place pour un modèle différent. Mais cette option plus capitaliste du PSG, laisse forcément la place à d’autres formes de clubs, ancrés sur la formation notamment, car c’est quand même l’une des vocations du PFC et du Red Star » estime Guy Cottret, le président du PFC.
Du côté du Red Star, on est d’accord avec ce constat : « Le PSG, préempté par les Qatariens, a laissé pour compte tout ce qu’il avait comme rôle à jouer. Ce changement de philosophie ouvre un espace » estime de son côté, le président du Red Star, Patrice Haddad.
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