Traumatisé par un père catholique fanatique, autoritaire et certainement fou, Rudolph Lang s’engage dès l’adolescence dans l’armée allemande.
Méthodique et froid, il sera vite remarqué et gravira d’une guerre mondiale à l’autre les échelons qui le mèneront au commandement d’Auschwitz…
La mort est mon métier, c’est avant tout l’histoire d’un homme dénué d’humanité, pris dans l’engrenage de l’obéissance aveugle,
Comme dans ‘Le ruban blanc’ (le film de l’Autrichien Michael Haneke), on retrouve tout ce qu'il y a de glaçant, de toxique dans cette génération née avant la Grande Guerre en Allemagne.
Malgré une dizaine de pages absolument insoutenables, je ne peux que vous recommander ce roman historique (écrit en 1952) et psychologique inspiré par personnage réel.
Merci à Canel pour ce livre formidable, un coup de cœur pour elle, un livre indispensable pour moi.
La note de L'Ogresse: