Une jeune rêveuse de 20 ans m’a écrit sur Facebook la semaine dernière pour me poser une question sur l’Amour. Le vrai. Celui à qui on met un gros A. Question d’ailleurs que certaines d’entre vous se posent, j’en suis convaincu. En grand terre-à-terre et briseur de rêves notoire, je vous présente une bribe de cette conversation.
- Et pourquoi ce raisonnement? Maintenant?
– Je ne sais pas…
– Première des choses, va devant ton miroir et dis toi : « Wo je n’ai que 20 ans. Je vais aller chanter, danser et m’amuser. Je suis brillante et je vais aller poursuivre mes études à l’université et travailler très fort pour y arriver. J’ai un emploi que j’aime car je débute une carrière dans mon domaine. J’ai de super amies qui sont toujours là pour moi et moi réciproquement. J’ai fait un voyage dernièrement et je vais en refaire d’autres. Ma vie est en grande partie superbe. »
– D’accord…
– Et ensuite, tu sais ce que tu fais?
– Non?
– Après t’être giflée trois ou quatre fois, tu vas te promettre de ne jamais te reposer cette question-là avant l’âge de 30 ans si tu n’es pas encore en amour. L’amour ne se cherche pas, c’est elle qui nous trouve. Simple comme raisonnement mais c’est comme ça.
Ça aurait l’air en tout cas.
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30 ans. Je réalise que c’est l’an prochain pour moi. Un an et demi pour être plus précis. Nous avons commémoré le dixième anniversaire des Événements du Onze Septembre ce weekend. C’était hier dans ma tête. Alors 1 an et demi, c’est dans même pas une heure!
Qu’est-ce que je ferai de cette question le jour venu si je suis dans cette situation? Reporterai-je le problème cinq ans plus tard? Dix c’est bien trop. On fait quoi à 35 ans, sans amour véritable, sans enfant?
Cette réponse donnée à cette jeune amie m’aura apporté d’autres questions qui elles, sont sans réponse pour le moment…
D.