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Pour tous les goûts et les humeurs....

Publié le 13 septembre 2011 par Marigotine

 

                                              Bon les filles:

   La chirurgie esthétique pour se faire remonter les fesses

   Je dis oui!

   Mais avec modération quand même..............

  

  

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Encorné

Monsieur,  avec vos 66 ans vous auriez dû rester chez vous plutôt que  de "picadiller" ce taureau !

                             Vous voila vous aussi, tombé dans l'arène.


  

<b></div>Encorné</b>. Salvador Hernandez Mariscal, l'un des aides-picadors des arènes de la Plaza Guadalajara, au Mexique, est décédé mardi après avoir été grièvement blessé la veille par un taureau. L'homme de 66 ans, touché au foie et aux poumons, il a été profondément encorné et trainé sur plusieurs mètres par l'animal, qui a réussi à s'échapper.Encorné. Salvador Hernandez Mariscal, l'un des aides-picadors des arènes de la Plaza Guadalajara, au Mexique, est décédé mardi après avoir été grièvement blessé la veille par un taureau. L'homme de 66 ans, touché au foie et aux poumons, il a été profondément encorné et trainé sur plusieurs mètres par l'animal, qui a réussi à s'échapper." title="Pour tous les goûts et les humeurs...." />Encorné. Salvador Hernandez Mariscal, l'un des aides-picadors des arènes de la Plaza Guadalajara, au Mexique, est décédé mardi après avoir été grièvement blessé la veille par un taureau. L'homme de 66 ans, touché au foie et aux poumons, il a été profondément encorné et trainé sur plusieurs mètres par l'animal, qui a réussi à s'échapper." border="0" /> Salvador Hernandez Mariscal, l'un des aides-picadors des arènes de la Plaza Guadalajara, au Mexique, est décédé mardi après avoir été grièvement blessé la veille par un taureau. L'homme de 66 ans, touché au foie et aux poumons, il a été profondément encorné et trainé sur plusieurs mètres par l'animal, qui a réussi à s'échapper. (Francisco Preciado/Efe/SIPA) En visite. Zut diront certains, mais Nicolas est juste en visite!
<b></div>En visite</b>. Nicolas Sarkozy est de retour sur le terrain de la sécurité. Ce mardi, après avoir inauguré un centre pénitentiaire flambant neuf à Réau (Seine-et-Marne), le Chef de l'État a fait plusieurs annonces lors d'un discours devant le personnel pénitentiaire. Il a, entre autre, promis «30 000 places» de prison supplémentaires d'ici six ans et l'ouverture de centres où des militaires encadreraient des jeunes délinquants. Le gouvernement doit ainsi déposer à l'automne un projet de loi de ''programmation relatif à l'exécution des peines'' largement inspiré du rapport que lui avait remis en juin le député UMP Éric Ciotti. En visite. Nicolas Sarkozy est de retour sur le terrain de la sécurité. Ce mardi, après avoir inauguré un centre pénitentiaire flambant neuf à Réau (Seine-et-Marne), le Chef de l'État a fait plusieurs annonces lors d'un discours devant le personnel pénitentiaire. Il a, entre autre, promis «30 000 places» de prison supplémentaires d'ici six ans et l'ouverture de centres où des militaires encadreraient des jeunes délinquants. Le gouvernement doit ainsi déposer à l'automne un projet de loi de ''programmation relatif à l'exécution des peines'' largement inspiré du rapport que lui avait remis en juin le député UMP Éric Ciotti. " title="Pour tous les goûts et les humeurs...." />En visite. Nicolas Sarkozy est de retour sur le terrain de la sécurité. Ce mardi, après avoir inauguré un centre pénitentiaire flambant neuf à Réau (Seine-et-Marne), le Chef de l'État a fait plusieurs annonces lors d'un discours devant le personnel pénitentiaire. Il a, entre autre, promis «30 000 places» de prison supplémentaires d'ici six ans et l'ouverture de centres où des militaires encadreraient des jeunes délinquants. Le gouvernement doit ainsi déposer à l'automne un projet de loi de ''programmation relatif à l'exécution des peines'' largement inspiré du rapport que lui avait remis en juin le député UMP Éric Ciotti. " border="0" /> En visite. Nicolas Sarkozy est de retour sur le terrain de la sécurité. Ce mardi, après avoir inauguré un centre pénitentiaire flambant neuf à Réau (Seine-et-Marne), le Chef de l'État a fait plusieurs annonces lors d'un discours devant le personnel pénitentiaire. Il a, entre autre, promis «30 000 places» de prison supplémentaires d'ici six ans et l'ouverture de centres où des militaires encadreraient des jeunes délinquants. Le gouvernement doit ainsi déposer à l'automne un projet de loi de "programmation relatif à l'exécution des peines" largement inspiré du rapport que lui avait remis en juin le député UMP Éric Ciotti. (Bertrand Guay/AFP) Sacrée. D'accord elle est jolie!    Mais il n'ont pas vu les "copiNet" blogueuses de Marigotine Non j'vous jure même pas jalouse avec mon tee-shirt rouge délavé! NÂ
<b></div>Sacrée</b>. La plus belle femme du monde est angolaise. Dans la nuit de lundi à mardi, Leila Lopes, une étudiante de 25 ans, a été sacrée Miss Univers 2011 à Sao Paulo, au Brésil puis officiellement couronnée par la Mexicaine Jimena Navarrete, détentrice du titre en 2010. Les Cheveux relevés en chignon et vêtue d'une robe ivoire scintillante, elle a défié tous les pronostics. «Maintenant je vais devoir travailler dur et je vais essayer de garder les pieds sur terre», a déclaré en pleurs la nouvelle reine de beauté à la presse locale, visiblement émue. Sacrée. La plus belle femme du monde est angolaise. Dans la nuit de lundi à mardi, Leila Lopes, une étudiante de 25 ans, a été sacrée Miss Univers 2011 à Sao Paulo, au Brésil puis officiellement couronnée par la Mexicaine Jimena Navarrete, détentrice du titre en 2010. Les Cheveux relevés en chignon et vêtue d'une robe ivoire scintillante, elle a défié tous les pronostics. «Maintenant je vais devoir travailler dur et je vais essayer de garder les pieds sur terre», a déclaré en pleurs la nouvelle reine de beauté à la presse locale, visiblement émue. " title="Pour tous les goûts et les humeurs...." />Sacrée. La plus belle femme du monde est angolaise. Dans la nuit de lundi à mardi, Leila Lopes, une étudiante de 25 ans, a été sacrée Miss Univers 2011 à Sao Paulo, au Brésil puis officiellement couronnée par la Mexicaine Jimena Navarrete, détentrice du titre en 2010. Les Cheveux relevés en chignon et vêtue d'une robe ivoire scintillante, elle a défié tous les pronostics. «Maintenant je vais devoir travailler dur et je vais essayer de garder les pieds sur terre», a déclaré en pleurs la nouvelle reine de beauté à la presse locale, visiblement émue. " border="0" /> La plus belle femme du monde est angolaise. Dans la nuit de lundi à mardi, Leila Lopes, une étudiante de 25 ans, a été sacrée Miss Univers 2011 à Sao Paulo, au Brésil puis officiellement couronnée par la Mexicaine Jimena Navarrete, détentrice du titre en 2010. Les Cheveux relevés en chignon et vêtue d'une robe ivoire scintillante, elle a défié tous les pronostics. «Maintenant je vais devoir travailler dur et je vais essayer de garder les pieds sur terre», a déclaré en pleurs la nouvelle reine de beauté à la presse locale, visiblement émue. (Andre Penner/AP/SIPA) L’oeil et le poing. Toujours le poing levé!    ça y est je sais qui c'est:    Sors du tas de sable  Amel Bent!
<b></div>L’oeil et le poing.</b> Que voyez-vous sur cette image a Une sculpture en hommage aux Africains a Le cadavre d’un insurgé libyen englouti sous le sable a Un poing levé en signe de résistance ou de victoire a Ou un groom en train de faire la sieste à Paris-Plage a Ne cherchez plus, l’angle de vue fausse tout : cette photo relève en fait de la rubrique «sport». Saisie la semaine dernière aux championnats du monde d’athlétisme de Daegu, en Corée du Sud, elle représente l’arrivée d’un jeune champion américain du triple saut, qui a fini par décrocher la médaille de bronze, deux jours plus tard, avec un saut de 17,50 m. Mais il ne fallait pas avoir de sable dans les yeux pour réussir à le deviner ! L’oeil et le poing. Que voyez-vous sur cette image a Une sculpture en hommage aux Africains a Le cadavre d’un insurgé libyen englouti sous le sable a Un poing levé en signe de résistance ou de victoire a Ou un groom en train de faire la sieste à Paris-Plage a Ne cherchez plus, l’angle de vue fausse tout : cette photo relève en fait de la rubrique «sport». Saisie la semaine dernière aux championnats du monde d’athlétisme de Daegu, en Corée du Sud, elle représente l’arrivée d’un jeune champion américain du triple saut, qui a fini par décrocher la médaille de bronze, deux jours plus tard, avec un saut de 17,50 m. Mais il ne fallait pas avoir de sable dans les yeux pour réussir à le deviner ! " title="Pour tous les goûts et les humeurs...." />L’oeil et le poing. Que voyez-vous sur cette image a Une sculpture en hommage aux Africains a Le cadavre d’un insurgé libyen englouti sous le sable a Un poing levé en signe de résistance ou de victoire a Ou un groom en train de faire la sieste à Paris-Plage a Ne cherchez plus, l’angle de vue fausse tout : cette photo relève en fait de la rubrique «sport». Saisie la semaine dernière aux championnats du monde d’athlétisme de Daegu, en Corée du Sud, elle représente l’arrivée d’un jeune champion américain du triple saut, qui a fini par décrocher la médaille de bronze, deux jours plus tard, avec un saut de 17,50 m. Mais il ne fallait pas avoir de sable dans les yeux pour réussir à le deviner ! " border="0" /> Que voyez-vous sur cette image ? Une sculpture en hommage aux Africains ? Le cadavre d’un insurgé libyen englouti sous le sable ? Un poing levé en signe de résistance ou de victoire ? Ou un groom en train de faire la sieste à Paris-Plage ? Ne cherchez plus, l’angle de vue fausse tout : cette photo relève en fait de la rubrique «sport». Saisie la semaine dernière aux championnats du monde d’athlétisme de Daegu, en Corée du Sud, elle représente l’arrivée d’un jeune champion américain du triple saut, qui a fini par décrocher la médaille de bronze, deux jours plus tard, avec un saut de 17,50 m. Mais il ne fallait pas avoir de sable dans les yeux pour réussir à le deviner ! (Mark Blinch/REUTERS) Dans le vent. J'te l'avais dit James, j'voulais pas venir à ce stage d'accro-voiles Ferme la, et cramponne toi à tout ce qui dépasse
<b></div>Dans le vent</b>. La deuxième journée des séries mondiales de la coupe de l'America a tourné au rodéo aquatique, dimanche, à Plymouth. Des rafales à 35 nœuds et une mer moutonneuse ont animé les régates et provoqué les chavirages de trois catamarans AC45, le nec plus ultra en matière de multicoques de course, dont celui de la Team Korea Draper, l’équipe sud-coréenne, skippée par Chris Draper, dont certains membres ont failli tomber à l’eau. Cette escale, choisie au cœur de l’un des ports les plus emblématiques de l’histoire maritime britannique, accueille des milliers de personnes pendant neuf jours. Dans le vent. La deuxième journée des séries mondiales de la coupe de l'America a tourné au rodéo aquatique, dimanche, à Plymouth. Des rafales à 35 nœuds et une mer moutonneuse ont animé les régates et provoqué les chavirages de trois catamarans AC45, le nec plus ultra en matière de multicoques de course, dont celui de la Team Korea Draper, l’équipe sud-coréenne, skippée par Chris Draper, dont certains membres ont failli tomber à l’eau. Cette escale, choisie au cœur de l’un des ports les plus emblématiques de l’histoire maritime britannique, accueille des milliers de personnes pendant neuf jours. " title="Pour tous les goûts et les humeurs...." />Dans le vent. La deuxième journée des séries mondiales de la coupe de l'America a tourné au rodéo aquatique, dimanche, à Plymouth. Des rafales à 35 nœuds et une mer moutonneuse ont animé les régates et provoqué les chavirages de trois catamarans AC45, le nec plus ultra en matière de multicoques de course, dont celui de la Team Korea Draper, l’équipe sud-coréenne, skippée par Chris Draper, dont certains membres ont failli tomber à l’eau. Cette escale, choisie au cœur de l’un des ports les plus emblématiques de l’histoire maritime britannique, accueille des milliers de personnes pendant neuf jours. " border="0" /> La deuxième journée des séries mondiales de la coupe de l'America a tourné au rodéo aquatique, dimanche, à Plymouth. Des rafales à 35 nœuds et une mer moutonneuse ont animé les régates et provoqué les chavirages de trois catamarans AC45, le nec plus ultra en matière de multicoques de course, dont celui de la Team Korea Draper, l’équipe sud-coréenne, skippée par Chris Draper, dont certains membres ont failli tomber à l’eau. Cette escale, choisie au cœur de l’un des ports les plus emblématiques de l’histoire maritime britannique, accueille des milliers de personnes pendant neuf jours. (Kieran Doherty/REUTERS) Visa d'or. Sans commentaire!

<b></div>Visa d'or.</b> Une bonne photo de presse est celle qui parvient à raconter une histoire et l’Histoire en un coup d’oeil ; sans un mot, sans artifice, avec de l’émotion. Prise en mars dernier dans le camp des insurgés libyens de Ras Lanouf, celle-ci fait partie d’un reportage de huit mois suffisamment emblématique du genre pour avoir été récompensé par le visa d’or au dernier Festival de la photo de presse de Perpignan. Son auteur est un photoreporter russe de 48 ans qui a couvert plus de conflits qu’un général de l’Otan. Après la Russie, la Tchétchénie, l’Irak, le Yémen et la Libye, Yuri Kozyrev vient d’ailleurs d’emménager au Caire, en plein cœur de la zone où s’écrit désormais l’Histoire. Visa d'or. Une bonne photo de presse est celle qui parvient à raconter une histoire et l’Histoire en un coup d’oeil ; sans un mot, sans artifice, avec de l’émotion. Prise en mars dernier dans le camp des insurgés libyens de Ras Lanouf, celle-ci fait partie d’un reportage de huit mois suffisamment emblématique du genre pour avoir été récompensé par le visa d’or au dernier Festival de la photo de presse de Perpignan. Son auteur est un photoreporter russe de 48 ans qui a couvert plus de conflits qu’un général de l’Otan. Après la Russie, la Tchétchénie, l’Irak, le Yémen et la Libye, Yuri Kozyrev vient d’ailleurs d’emménager au Caire, en plein cœur de la zone où s’écrit désormais l’Histoire. " title="Pour tous les goûts et les humeurs...." />Visa d'or. Une bonne photo de presse est celle qui parvient à raconter une histoire et l’Histoire en un coup d’oeil ; sans un mot, sans artifice, avec de l’émotion. Prise en mars dernier dans le camp des insurgés libyens de Ras Lanouf, celle-ci fait partie d’un reportage de huit mois suffisamment emblématique du genre pour avoir été récompensé par le visa d’or au dernier Festival de la photo de presse de Perpignan. Son auteur est un photoreporter russe de 48 ans qui a couvert plus de conflits qu’un général de l’Otan. Après la Russie, la Tchétchénie, l’Irak, le Yémen et la Libye, Yuri Kozyrev vient d’ailleurs d’emménager au Caire, en plein cœur de la zone où s’écrit désormais l’Histoire. " border="0" />  Une bonne photo de presse est celle qui parvient à raconter une histoire et l’Histoire en un coup d’oeil ; sans un mot, sans artifice, avec de l’émotion. Prise en mars dernier dans le camp des insurgés libyens de Ras Lanouf, celle-ci fait partie d’un reportage de huit mois suffisamment emblématique du genre pour avoir été récompensé par le visa d’or au dernier Festival de la photo de presse de Perpignan. Son auteur est un photoreporter russe de 48 ans qui a couvert plus de conflits qu’un général de l’Otan. Après la Russie, la Tchétchénie, l’Irak, le Yémen et la Libye, Yuri Kozyrev vient d’ailleurs d’emménager au Caire, en plein cœur de la zone où s’écrit désormais l’Histoire. (Yuri Kozyrev/Noor) Sacre bleu ! Alors la grande Dame    On s'est foutu les doigts dans la prise électrique LED du bon Dieu.......
<b></div>Sacre bleu !</b> Ce cliché est un rêve de photographe. Presque impossible à saisir – le dernier du genre, en noir et blanc, remonte à 1902 –, il est spécialement superbe : la tour était alors revêtue d’un bleu électrique idéal, le ciel d’orage n’était même pas laiteux, et l’éclair a évité la flèche pour traverser toute la structure avant de la frapper en plein cœur. Il fallait un énorme coup de chance, et c’est un photographe amateur qui l’a eu. Sa photo fera donc sûrement le tour du monde, en propageant la réputation de «paratonnerre géant de Paris» qu’avait déjà la tour Eiffel. Alors qu’en fait, ce monument ne protège contre la foudre que dans un rayon égal à sa hauteur, soit 324 mètres. Sacre bleu ! Ce cliché est un rêve de photographe. Presque impossible à saisir – le dernier du genre, en noir et blanc, remonte à 1902 –, il est spécialement superbe : la tour était alors revêtue d’un bleu électrique idéal, le ciel d’orage n’était même pas laiteux, et l’éclair a évité la flèche pour traverser toute la structure avant de la frapper en plein cœur. Il fallait un énorme coup de chance, et c’est un photographe amateur qui l’a eu. Sa photo fera donc sûrement le tour du monde, en propageant la réputation de «paratonnerre géant de Paris» qu’avait déjà la tour Eiffel. Alors qu’en fait, ce monument ne protège contre la foudre que dans un rayon égal à sa hauteur, soit 324 mètres. " title="Pour tous les goûts et les humeurs...." />Sacre bleu ! Ce cliché est un rêve de photographe. Presque impossible à saisir – le dernier du genre, en noir et blanc, remonte à 1902 –, il est spécialement superbe : la tour était alors revêtue d’un bleu électrique idéal, le ciel d’orage n’était même pas laiteux, et l’éclair a évité la flèche pour traverser toute la structure avant de la frapper en plein cœur. Il fallait un énorme coup de chance, et c’est un photographe amateur qui l’a eu. Sa photo fera donc sûrement le tour du monde, en propageant la réputation de «paratonnerre géant de Paris» qu’avait déjà la tour Eiffel. Alors qu’en fait, ce monument ne protège contre la foudre que dans un rayon égal à sa hauteur, soit 324 mètres. " border="0" />  cliché est un rêve de photographe. Presque impossible à saisir – le dernier du genre, en noir et blanc, remonte à 1902 –, il est spécialement superbe : la tour était alors revêtue d’un bleu électrique idéal, le ciel d’orage n’était même pas laiteux, et l’éclair a évité la flèche pour traverser toute la structure avant de la frapper en plein cœur. Il fallait un énorme coup de chance, et c’est un photographe amateur qui l’a eu. Sa photo fera donc sûrement le tour du monde, en propageant la réputation de «paratonnerre géant de Paris» qu’avait déjà la tour Eiffel. Alors qu’en fait, ce monument ne protège contre la foudre que dans un rayon égal à sa hauteur, soit 324 mètres. (Kulik/Caters News Agency/SIPA)

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