La Tour sombre (The Dark Tower) est un cycle de sept romans (tome) de Stephen King, inspirée par un poème de Robert Browning : Le Chevalier Roland s’en vint à la Tour noire, publié dans Men and Women.
Aprés un énorme travail qui me prit un mois de recherche et deux semaine d’écriture pour vous livrer chaque deux jours une critique d’un tome de la tour sombre plus la critique du premier tome de la bd, je clos ce travail (commencer par une relecture des tomes pour me rapeller de certain détail avant d’attaquer les critiques) pour ce dossier. Biensur, étant donné que j’ai grandi en lisant cette saga et qu’elle m’a accompagné tout le long de mon adolescence, je continuerais à poster des critiques (de la bd ou autre) ou des news en rapport quand je le jugerais utile. en attendant je clos ce chapitre avec ce dossier. le premier du l’histoire d’horreur show. à ce propos, un dossier de ce type prenant un temps monstre ne vous attendait pas d’en voir un tout les mois. cela ne sera possible que sur des sujet qui m’ont marqué ou me tienne à coeur. allez je fini cette intro trop longue pour lancer le dossier ! go allons à l’attaque de cette tour.
Le début de la saga
Stephen King débuta à 22 ans l’écriture du premier volume dans les années 1970 alors qu’il n’était encore qu’étudiant. Il publia ensuite ce premier volume sous la forme de cinq nouvelles en 1982. La Tour Sombre compte aujourd’hui sept volumes dont l’écriture fut répartie sur trente-trois ans. Le dernier volume, paru en 2005, clôt la saga.
Depuis ses 19 ans, King avait pour ambition d’écrire une épopée comme Tolkien l’avait fait avec son Seigneur des anneaux. Mais ne se sentant pas prés il attendit longtemps avant de commencer à l’écrire. Le déclic vint de l’étude du poème de Robert Browning : Le chevalier Roland s’en vint a la tour noire. De là lui vint l’idée de son pistolero et de la quête de la tour sombre.
Là où stephen king a essayé de marquer le coup, ce fut par sa volonté de faire de la tour sombre sont jupiter de son système solaire. ainsi tout les livres (enfin beaucoup) sont interconnecté à ses autres oeuvres. Ainsi plusieurs références sont faites, durant l’épopée, à d’autres romans du même auteur. il y a salem (qui à ce propos est ressortie en version reécrite pour encore mieux s’intégré à la saga), le fléau (souvenez vous de l’homme en noir), Insomnie (livre au combien plus important qu’on ne peu le laisser penser), désolation (à ce propos svp lisez le livre mais ne voyez pas le film) et coeurs perdus en atlantide (livre magnifique massacé en film). Certains des personnages y apparaissant se situent au cœur même du récit de La Tour sombre. On retrouve la nostalgie habituelle de Stephen King pour l’Amérique de son enfance, sa musique et ses références socio-culturelles. Mais king ne se contente pas à se servir de ses propres oeuvres, et ainsi il renvoi à d’auteur livre tout aussi incontournable tel que, le magicien d’oz, alice au pays des merveilles (mais au jour d’aujourd’hui quel livre, film, album -eat me drink me de manson- ne se réclame pas de cet oeuvre magistrale) ou biensur le seigneur des anneaux. Mieux le magistral les loups de calla puise dans la sous culture tirant de nombreuse référence au d’autre saga mythique tel que star wars (les sabres lasers) ou harry potter (les vif d’argent) voir des comics books (hélas, trop sous estimé dans nos contrées). Le cycle monumental a été achevé en 2005, mettant fin à environ 4000 pages de récit. c’est son grave accident de voiture dans lequel il a frôlé la mort en 1999, et qui inspirera des évènements dans le récit lui-même, qui semble l’avoir convaincu de mener à son terme cette histoire, qui est probablement la plus énigmatique de ses œuvres.
Pour permettre une meilleure compréhension de la saga, on a vu la sortie deux Concordance. C’est un guide officiel du cycle en deux tomes, qui réunit des appendices autour de l’œuvre et mentionne les modifications faites aux quatre premiers tomes avant leurs rééditions (notamment des ajouts et corrections au premier, Le Pistolero). Ce volume est surtout conseillé aux premiers lecteurs, ceux ayant découvert les aventures de Roland le pistolero dans les éditions initiales. pour autant ces deux concordance permettent aussi au nouveau lecteur de mieux comprendre toute les subtilités de cette gigantesque saga.
Mais l’histoire ne s’arrète pas là. Marvel Comics a débuté l’adaptation BD de la franchise en sept mini-séries. Le premier arc est paru en mensuel depuis février 2007, il est maintenant disponible en français. Ce premier récit traite de la naissance et de la genèse du héros principal, Roland de Gilead. Les sept chapitres composants The Gunslinger Born sont édités depuis aout 2007 et largement inspirés d’évènements narrés dans Magie et Cristal.
The Long Road Home débutera en mars 2008 au même rythme de parution que les préquelles. Ces cinq volumes ont pour thème le trajet-retour de Roland vers Gilead; soit une histoire inédite car elle n’est pas relatée dans l’œuvre originale. La même équipe de créateurs et d’illustrateurs de The Gunslinger Born reprend donc la narration, immédiatement depuis la première mini-série.
Au niveau d’une adaptation cinématographique, cela reste encore assez flou. les droits sont pour l’instant accordés aux créateurs de la série lost, mais aucun projet concret (mini-série? film?) n’est apparue encore.
quest ce que la tour sombre ?
La tour sombre (qui est bien réelle) constitue le centre des nombreux univers qui sont répartis dans ses niveaux. elle est également le point d’ancrage des réalités qui maintient la cohérence du temps et de l’espace à travers les dimensions. La tour est maintenue par des rayons qui aboutissent à des portes garder par des gardiens. si tout cela s’effondrer, ce serait alors la fin de cet univers : le chaos
les tomes de la saga sont les suivants :
Le Pistolero (The Gunslinger, 1982)
Les trois cartes (The Drawing of the Three, 1987)
Terres perdues (The Waste Lands, 1991)
Magie et Cristal (Wizard and Glass, 1997)
Les Loups de la Calla (Wolves of the Calla, 2003)
Le Chant de Susannah (Song of Susannah, 2004)
La Tour Sombre (The Dark Tower, 2005)
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