genre: horreur (interdit aux - 12 ans)
année: 2009
durée: 1h35
l'histoire: Des scientifiques font des recherches sur un sérum d'immortalité. Ce même sérum provoque la régénération des cellules mais donne également une agressivité excessive. Un anaconda mutant va parvenir à s'échapper dans la nature.
la critique d'Alice In Oliver:
A peine le numéro 3 sorti dans les bacs à dvd, que voilà Anacondas: Sur la piste du sang, soit Anacondas 4. Même pas un an après le troisième volet, Don E. Fauntleroy continue de sévir derrière la caméra.
Première bonne nouvelle, David Hasselhoff n'est plus de la partie: ouf ! On l'a échappé belle ! Pour autant, difficile de sauver cet Anacondas 4, tant cette série B horrifique pue sérieusement du derche !
Nos scénaristes ne savent plus quoi inventer. Attention, SPOILERS ! Cette fois-ci, des chercheurs travaillent sur un sérum d'immortalité.
Ils font donc des expériences sur des serpents. Modifiée génétiquement, une des créatures s'échappe du laboratoire et devient un véritable prédateur.
Au même moment, un milliardaire atteint d'un cancer, charge un tueur de récupérer le sérum qui se trouve dans les mains d'une jeune scientifique.
Un scénario bidon qui n'est prétexte à mettre en scène le serpent foireux de service. Ce quatrième épisode tente vainement quelques nouveautés.
Notre serpent monstrueux a la peau dure. Il est donc impossible de le tuer puisque ce dernier a la capacité de se régénérer.
Les acteurs sont unanimement mauvais. A tel point que l'on regretterait presque l'absence de l'ami Hasselhoff (j'exagère à peine).
Et on se demande bien l'utilité de ce quatrième épisode, nanardeux malgré lui. Evidemment, la fin d'Anacondas 4 laisse présager un cinquième volet.
Que dieu leur pardonne...
Note: