Ce procédé, peu coûteux, consiste à convertir l’énergie des vibrations du vent et peut-être sonores, en électricité sans émettre de bruit.
L’équipe a testé un prototype constitué d’un panneau sur lequel étaient plantés des oscillateurs en mousse.
La conversion de l’énergie mécanique en énergie électrique est réalisé au moyen de transducteurs piézoélectrique. Lorsqu’il est soumis à une action (vent, bruit…)le système émet des électrons.
Toutefois l’équipe est à la recherche d’une autre alternative face aux transducteurs piézoélectriques et teste à la place le potentiel des bobines électromagnétiques.
Ce dispositif, en plus de jouer son rôle de récupération d’énergie, pourrait avoir aussi un rôle dans la surveillance en détectant certains bruits.
Pour la sécurité routière par exemple. En effet, une voiture qui va très vite est plus bruyante et produit plus de vent dans sa proximité.
Voici également une applications qui pourrait être intéressante: on fabriquerait des plaques de transducteur piézoélectriques conçus pour recouvrir les murs. Ils amélioreraient non seulement l’isolation thermiques mais absorberaient aussi une partie du bruit. De plus ces plaques seraient productrices d’électricité, destinée à un usage local.
On pourrait aussi équiper des engins comme les voitures ou les avions de ces transducteurs pour récupérer l’énergie du vent qu’ils produisent.