Je connais un petit peu Jacques Morio. Il était venu interviewer Henri Burin des Roziers lors de son passage à Pau l'année dernière. C'est un type gentil et modeste, on a du mal à imaginer en quoi il puisse avoir affaire avec la police.
PS : comme ça, les renseignements généraux et la police anti-terroriste viendront aussi visiter mon blog.