Ah, le ch'nord, son climat humide, ses habitants chaleureux, et ses pigeons. Ou plutôt SON pigeon, celui qui il y a quelques années de cela s'est permis de me souhaiter la bienvenue - ainsi qu'à mes potes - d'une manière très furtive et quelque peu familière. Ben oui, c'est qu'en arrivant à Lille ce jour-là - on débarquait en TGV pour une journée de vacances agrémentée d'une expo rétrogaming - on était loin de se douter de ce qui allait nous arriver une fois posé le pied sur le parvis de la gare. Il faisait tellement beau (pas un nuage) qu'on s'est tous les trois arrêtés pour profiter de ce temps exceptionnel, apprécier notre premier contact avec la ville. Quand soudain, le drame! Positionné sur le toit tel un ninja, un pigeon nous prend pour cible et déverse son guano sur les trois têtes non-casquettées des parigos que nous sommes, sans en déverser une goutte par terre (mais sur les t-shirts, si, et ça cocotte bien). Mention spéciale à celui qui était positionné au milieu du trio - Brassica pour ne pas le citer - et qui a mangé plus que les deux autres. On n'oubliera jamais le pigeon lillois.VDP
Ah, le ch'nord, son climat humide, ses habitants chaleureux, et ses pigeons. Ou plutôt SON pigeon, celui qui il y a quelques années de cela s'est permis de me souhaiter la bienvenue - ainsi qu'à mes potes - d'une manière très furtive et quelque peu familière. Ben oui, c'est qu'en arrivant à Lille ce jour-là - on débarquait en TGV pour une journée de vacances agrémentée d'une expo rétrogaming - on était loin de se douter de ce qui allait nous arriver une fois posé le pied sur le parvis de la gare. Il faisait tellement beau (pas un nuage) qu'on s'est tous les trois arrêtés pour profiter de ce temps exceptionnel, apprécier notre premier contact avec la ville. Quand soudain, le drame! Positionné sur le toit tel un ninja, un pigeon nous prend pour cible et déverse son guano sur les trois têtes non-casquettées des parigos que nous sommes, sans en déverser une goutte par terre (mais sur les t-shirts, si, et ça cocotte bien). Mention spéciale à celui qui était positionné au milieu du trio - Brassica pour ne pas le citer - et qui a mangé plus que les deux autres. On n'oubliera jamais le pigeon lillois.VDP