Et voilà, la crise de nerfs évoquée ici il y a plusieurs mois est arrivée. "Plus dure sera la chute" annonçait le probable croisement des courbes de popularité du Premier Ministre et du locataire de l'Elysée. C'est arrivé fin janvier, confirmé en février et maintenant, la colère de Nicolas Sarkozy en découle, appellant sa majorité à la discipline et rejettant tous les maux sur ses membres. S'il continue à travailler dans l'ombre, François Fillon passera peut être aux oubliettes après…