Écrit par La Nouvelle Expression
Vendredi, 09 Septembre 2011 10:13
éèééééûèéééééééééééééééçûéééééééèééééé
5.947. C'est le nombre de candidats encore présélectionnés par le comité technique présidé par Jules Doret Ndongo, le secrétaire général des services du Premier ministre et président dudit comité. Cette seconde vague de présélections pourtant plus costaude, est passée pratiquement inaperçue. En effet, depuis le 24 août 2011 que les 39 communiqués ont été signés, on n'en parle presque pas. Pourtant les différentes listes ont été entièrement divulguées par le comité technique et reprises par le site du Minfopra. On y retrouve les architectes, docteurs vétérinaires, hydrologistes, maintenanciers, pharmaciens, etc. Plus de 30 communiqués concernent les
ingénieurs dans diverses spécialités. Aéronautique civile, eaux et forêts, industries animales, mines et géologie, sciences biomédicales, télécoms, génie civil, génie rural, travaux informatiques, travaux statistiques, etc.
Mais, ce sont les instituteurs qui se taillent la part du lion. 2 260 candidats ont été présélectionnés dans le domaine de l'enseignement général et 1 859 dans l'enseignement technique. Concrètement, il s'agit des diplômés de l'Enieg et de l'Eniet. Jules Doret Ndongo invite les différents candidats à compléter leur dossier, afin d'amorcer la seconde grande et décisive étape.
Encore 17 864 candidats à recruter
C'est la seconde vague des recrutements. La première vague, beaucoup moins importante, a été publiée le 1er août 2011 et concernait 1 189 candidats présélectionnés pour la plupart au poste d'enseignants d'université et de chercheurs. «Au regard des besoins exprimés par les universités d'Etat via le ministère de l'Enseignement supérieur et, après examen de leurs dossiers de candidature par le comité technique, les candidats dont les noms suivent sont présélectionnés en vue de l'examen de leurs dossiers de recrutement à titre exceptionnel dans la Fonction publique, en qualité de personnels enseignants contractuels de l'enseignement supérieur, au titre de l'exercice budgétaire 2011», pouvait-on lire sur le communiqué rendu public le 1er août dernier par le secrétaire général des services du Premier ministre, président de la commission de coordination et de supervision du recrutement spécial des 25 000 jeunes diplômés à la fonction publique.
«On a commencé par les enseignants parce que c'était le plus gros contingent de candidats, tant les gens se bousculaient aussi depuis l'intérieur que l'extérieur ; la diaspora a beaucoup postulé à ces postes d'enseignants du supérieur, c'est pourquoi on a voulu d'abord satisfaire cette filière afin que d'ici à la fin de la semaine, le tri des candidats soit achevé, parce que nous devons procéder à la conformité et à l'authenticité des travaux de recherche et de thèses», a justifié un cadre du ministère de la Fonction publique.
Avec cette seconde vague, on est déjà à environ 7 136 candidats presque recrutés. Et il manque encore 17 864 à recruter et dans les filières les plus attendues et les plus sollicitées.
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