Suite au défi lancé par Greenpeace aux deux équipementiers sportifs, Nike & Adidas, et après la première réponse du premier, Adidas a fait, à son tour, la promesse de bannir de ses processus de fabrication – d’ici à 2020 – les produits chimiques toxiques dénoncés par l’organisme militant.
A l’instar de ses concurrents, Nike & Puma, la marque se serait engagée à publier des informations sur la mise en oeuvre de cette démarche, dixit Greenpeace.
Ce dont se rejouit Manfred Santen, expert en chimie chez Greenpeace, qui y voit enfin « une bonne nouvelle pour les gens en Chine ou dans d’autres pays asiatiques, où les fleuves sont vraiment des artères vitales« .
Selon lui, l’industrie textile en Chine et dans les pays voisins doit opérer un changement de système: « elle ne doit plus produire dans les pays à bas salaires au prix de la santé des hommes et d’atteintes à l’environnement« .
Source : fashionmag