3h52 encore un texte lunaire, voire lunatique, qui va vachement faire avancer le shmilblique.
Dans la vie il ya le monde des gentils et le monde des mechants.
Dans la vie il y a moi sautant sans arret entre ces 2 mondes.
Souvent quand je suis dans le monde des méchants je ne m’aperçois pas que je suis une mechante.
Quand je suis une mechante, je ne sais pas que c’est à moi que je fais du mal.
Quand je suis une mechante, je suis le bourreau et la victime.
Une fois dans le monde des gentils, je réalise tout ça et ça m’attriste, aussi je prie pour retourner dans le monde des mechants.
Chez les mechants on ne ressent rien, ni peine ni joie. On a l’illusion de la joie, l’illusion de la peine.
A méchant land tout est faux, tout est appelé à disparaître. Même moi, quand j’y suis.
L’amour c’est lourd, c’est prenant, c’est comme un cancer, ça ne veut pas partir. Alors on attend, on espere un miracle. On s’epuise à essayer de le combattre. On n’y arrive pas. A la fin on en meurt.
You can’t always get what you want
Even more when you don’t know what you want…
Humeur de nuit, pas de folie, oh oui, tant pis tant pis mais pas pour lui!