Depuis hier en effet, l’accorte responsable, alors qu’elle regorge d’euros en billets, a reçu une instruction formelle de refuser de vendre des euros tant que … la BNS n’a pas fini de faire son travail.
Bravo donc à Postfinance de contribuer à sa modeste mesure au dérèglement du marché du franc suisse sur le dos du contribuable client qui ne cesse de payer.