Retour à mes racines familiales pour ce plat roboratif de fin d’été, confectionné avec de l’ail nouveau (amoureux transis s’abstenir…), qui constitue un plat unique pour le soir, et qui doit être consommé très chaud.
Pour 6 personnes, il vous faudra réunir :
500g de haricots secs : rouges et blancs, coco, flageolets…
400g de haricots verts ou mange-tout (facultatif),
3 petites courgettes
1 grosse tomate, 4 petites carottes nouvelles
3 pommes de terre de taille moyenne
1 gros oignon, des branches de persil
150g de coquillettes ou autres grosses pâtes
6 gousses d’ail
1 gros bouquet de basilic
Huile d’olive
Sel, poivre, laurier
parmesan
Ne pas oublier de faire tremper les haricots secs au moins une nuit avant de s’y mettre. Car on commence par leur cuisson. Emincer l’oignon, le placer dans la marmite avec de l’huile d’olive, deux feuilles de laurier, du thym. Laisser suer quelques instants puis placer les haricots égouttés, noyer d’eau froide en abondance. Porter doucement à ébullition sans saler. Laisser frémir doucement pendant 40 minutes.
Arrivé à mi-cuisson, il est possible de saler au gros sel. Ajouter ensuite, dans l’ordre : les carottes, les pommes de terre, les courgettes, les haricots verts, les dés de tomate (préalablement pelée), le persil coupé grossièrement, pour encore une demi-heure de cuisson. Dans les dix dernières minutes, verser les pâtes. Vérifier l’assaisonnement, tester les pâtes avant d'arrêter la cuisson et laisser reposer.
Eplucher les gousses d’ail et les couper en petits morceaux. Les placer dans un mortier avec une pincée de gros sel. Commencer à piler soigneusement, puis ajouter les feuilles de basilic avec un filet d’huile d’olive jusqu’à obtention d’une pommade.Placer une cuillerée à soupe de pistou au fond de l’assiette puis la louchée de soupe par dessus. Terminer par du parmesan râpé. Bien mélanger en faisant remonter le pistou du dessous sur le dessus.
La base de la soupe se congèle très bien. Mais le pistou doit être confectionné au dernier moment !