Dites : « Aahhhh !» -
Non je t'assure bibiche
t'as pas
d'arête de coincée au fond du gosier!
Hey dis donc, "l'orthodonto" de pacotille!
tu vois pas que moi c'est d'un ophtalmo dont j'ai besoin....
Dites : « Aahhhh !» - Étonnante complicité entre ces deux espèces du Pacifique Nord. Perché sur le museau d'un lion de mer en pleine sieste câline, cet huîtrier paraît sur le point d'extraire quelque chose de la gueule de sa compagne. Une arête, peut-être a Ce qui serait normal, étant donné que ces grosses otaries ne se nourrissent que de poisson ; mais très altruiste de la part de cet oiseau de mer, puisqu'il ne se nourrit, lui, que de coquillages. A moins, bien sûr, que la femelle ne soit en train de japper sur cet impudent qui s'apprête à la confondre avec une huître. Une seule chose paraît certaine dans cette scène : il en faudrait bien plus pour troubler la quiétude de son mâle." />
Dites : « Aahhhh !» - Étonnante complicité entre ces deux espèces du Pacifique Nord. Perché sur le museau d'un lion de mer en pleine sieste câline, cet huîtrier paraît sur le point d'extraire quelque chose de la gueule de sa compagne. Une arête, peut-être a Ce qui serait normal, étant donné que ces grosses otaries ne se nourrissent que de poisson ; mais très altruiste de la part de cet oiseau de mer, puisqu'il ne se nourrit, lui, que de coquillages. A moins, bien sûr, que la femelle ne soit en train de japper sur cet impudent qui s'apprête à la confondre avec une huître. Une seule chose paraît certaine dans cette scène : il en faudrait bien plus pour troubler la quiétude de son mâle." title="Regard décalé, vous avez dit décalé?" />
Dites : « Aahhhh !» - Étonnante complicité entre ces deux espèces du Pacifique Nord. Perché sur le museau d'un lion de mer en pleine sieste câline, cet huîtrier paraît sur le point d'extraire quelque chose de la gueule de sa compagne. Une arête, peut-être a Ce qui serait normal, étant donné que ces grosses otaries ne se nourrissent que de poisson ; mais très altruiste de la part de cet oiseau de mer, puisqu'il ne se nourrit, lui, que de coquillages. A moins, bien sûr, que la femelle ne soit en train de japper sur cet impudent qui s'apprête à la confondre avec une huître. Une seule chose paraît certaine dans cette scène : il en faudrait bien plus pour troubler la quiétude de son mâle." border="0" />
- Étonnante complicité entre ces deux espèces du Pacifique Nord. Perché sur le museau d'un lion de mer en pleine sieste câline, cet huîtrier paraît sur le point d'extraire quelque chose de la
gueule de sa compagne. Une arête, peut-être ? Ce qui serait normal, étant donné que ces grosses otaries ne se nourrissent que de poisson ; mais très altruiste de la part de cet oiseau de mer,
puisqu'il ne se nourrit, lui, que de coquillages. A moins, bien sûr, que la femelle ne soit en train de japper sur cet impudent qui s'apprête à la confondre avec une huître. Une seule chose
paraît certaine dans cette scène : il en faudrait bien plus pour troubler la quiétude de son mâle.
(Bildarchiv/Sunset)
Villa pieds dans l'eau-
Tu vois chérie, ça fait des années que je te dis qu'un jour on mettrait les voiles, et qu'on aurait une maison
"les pieds dans l'eau".
Oui mamour je sais!
Mais y'a pas de voile et y'a pas que les pieds qui sont
dans l'eau
Villa pieds dans l'eau - La photo est spectaculaire, mais cette maison n'est que l'une des trois endommagées par le passage de l'ouragan Irene sur la petite ville côtière de Fairfield, dans le Connecticut. Formée en fin de semaine dernière au nord des Caraïbes, cette tempête tropicale d'un diamètre historique (800 km) est arrivée dimanche matin à New York, où le maire avait ordonné l'évacuation préventive de 370 000 habitants. Les pluies ont été torrentielles, mais le bilan s'avère nettement moins lourd qu'on ne le redoutait : 40 morts et quelque 10 milliards de dollars de dégâts, contre 1 856 victimes et 86 milliards pour Katrina, l'ouragan qui avait dévasté la Louisiane à la fin août 2005. " />
Villa pieds dans l'eau - La photo est spectaculaire, mais cette maison n'est que l'une des trois endommagées par le passage de l'ouragan Irene sur la petite ville côtière de Fairfield, dans le Connecticut. Formée en fin de semaine dernière au nord des Caraïbes, cette tempête tropicale d'un diamètre historique (800 km) est arrivée dimanche matin à New York, où le maire avait ordonné l'évacuation préventive de 370 000 habitants. Les pluies ont été torrentielles, mais le bilan s'avère nettement moins lourd qu'on ne le redoutait : 40 morts et quelque 10 milliards de dollars de dégâts, contre 1 856 victimes et 86 milliards pour Katrina, l'ouragan qui avait dévasté la Louisiane à la fin août 2005. " title="Regard décalé, vous avez dit décalé?" />
Villa pieds dans l'eau - La photo est spectaculaire, mais cette maison n'est que l'une des trois endommagées par le passage de l'ouragan Irene sur la petite ville côtière de Fairfield, dans le Connecticut. Formée en fin de semaine dernière au nord des Caraïbes, cette tempête tropicale d'un diamètre historique (800 km) est arrivée dimanche matin à New York, où le maire avait ordonné l'évacuation préventive de 370 000 habitants. Les pluies ont été torrentielles, mais le bilan s'avère nettement moins lourd qu'on ne le redoutait : 40 morts et quelque 10 milliards de dollars de dégâts, contre 1 856 victimes et 86 milliards pour Katrina, l'ouragan qui avait dévasté la Louisiane à la fin août 2005. " border="0" />
La photo est spectaculaire, mais cette maison n'est que l'une des trois endommagées par le passage de l'ouragan Irene sur la petite ville côtière de Fairfield, dans le Connecticut. Formée
en fin de semaine dernière au nord des Caraïbes, cette tempête tropicale d'un diamètre historique (800 km) est arrivée dimanche matin à New York, où le maire avait ordonné l'évacuation
préventive de 370 000 habitants. Les pluies ont été torrentielles, mais le bilan s'avère nettement moins lourd qu'on ne le redoutait : 40 morts et quelque 10 milliards de dollars de dégâts,
contre 1 856 victimes et 86 milliards pour Katrina, l'ouragan qui avait dévasté la Louisiane à la fin août 2005.
(Cathy Zuraw/AP/SIPA)
Hip, hip, hip... Ippon !
Un "JUDO" plein de vitamines
Bravo et félicitations à tous
Hip, hip, hip... Ippon ! - Bercy n'avait jamais tant vibré pour le judo. Dimanche dernier, l'équipe de France a su répondre au centuple à la ferveur de son public : quatre médailles d'or et une de bronze en individuel, avant l'apothéose des deux victoires par équipes, masculine et féminine, malgré la blessure de leur champion Teddy Riner, qui surplombe le groupe (2,04 m et 138 kg). La victoire est ainsi totale pour ce jeune judoka guadeloupéen de 22 ans, désormais seul à avoir été cinq fois champion du monde, et toujours par ippon - le score le plus élevé que l'on puisse obtenir lors d'un combat en projetant son adversaire largement sur le dos (au moins la moitié) ou en l'immobilisant vingt-cinq secondes au sol. " />
Hip, hip, hip... Ippon ! - Bercy n'avait jamais tant vibré pour le judo. Dimanche dernier, l'équipe de France a su répondre au centuple à la ferveur de son public : quatre médailles d'or et une de bronze en individuel, avant l'apothéose des deux victoires par équipes, masculine et féminine, malgré la blessure de leur champion Teddy Riner, qui surplombe le groupe (2,04 m et 138 kg). La victoire est ainsi totale pour ce jeune judoka guadeloupéen de 22 ans, désormais seul à avoir été cinq fois champion du monde, et toujours par ippon - le score le plus élevé que l'on puisse obtenir lors d'un combat en projetant son adversaire largement sur le dos (au moins la moitié) ou en l'immobilisant vingt-cinq secondes au sol. " title="Regard décalé, vous avez dit décalé?" />
Hip, hip, hip... Ippon ! - Bercy n'avait jamais tant vibré pour le judo. Dimanche dernier, l'équipe de France a su répondre au centuple à la ferveur de son public : quatre médailles d'or et une de bronze en individuel, avant l'apothéose des deux victoires par équipes, masculine et féminine, malgré la blessure de leur champion Teddy Riner, qui surplombe le groupe (2,04 m et 138 kg). La victoire est ainsi totale pour ce jeune judoka guadeloupéen de 22 ans, désormais seul à avoir été cinq fois champion du monde, et toujours par ippon - le score le plus élevé que l'on puisse obtenir lors d'un combat en projetant son adversaire largement sur le dos (au moins la moitié) ou en l'immobilisant vingt-cinq secondes au sol. " border="0" />
Bercy n'avait jamais tant vibré pour le judo. Dimanche dernier, l'équipe de France a su répondre au centuple à la ferveur de son public : quatre médailles d'or et une de bronze en
individuel, avant l'apothéose des deux victoires par équipes, masculine et féminine, malgré la blessure de leur champion Teddy Riner, qui surplombe le groupe (2,04 m et 138 kg). La victoire
est ainsi totale pour ce jeune judoka guadeloupéen de 22 ans, désormais seul à avoir été cinq fois champion du monde, et toujours par ippon - le score le plus élevé que l'on puisse obtenir
lors d'un combat en projetant son adversaire largement sur le dos (au moins la moitié) ou en l'immobilisant vingt-cinq secondes au sol.
(Bertrand Langlois/AFP)
72 - 73 -74- 88- 92 - 98 et 100....................
Attention,
partie de cache cache chez les libellules!
Trop mimi cette libellule, et en plus t'as d'beaux yeux tu sais!
Vue ! Très mauvaise cachette pour cette libellule qui se croyait sans doute invisible derrière son brin d'herbe, assez gros pour masquer son long corps et ses grandes ailes, pas assez large pour sa paire d'yeux à 28.000 facettes. L'essentiel dépasse, un peu comme le derrière d'une autruche lorsqu'elle dissimule sa tête dans le sable, ou comme le sombrero d'un Mexicain endormi contre un poteau électrique. Mais des trois, c'est quand même cette jolie demoiselle bleue (espèce de zygoptère très commune en Europe) qui est de loin la plus maligne : elle n'est peut-être pas bien cachée, mais, au moins, dans cette position, elle ne risque pas de se laisser surprendre par celui qui l'observe. " />
Vue ! Très mauvaise cachette pour cette libellule qui se croyait sans doute invisible derrière son brin d'herbe, assez gros pour masquer son long corps et ses grandes ailes, pas assez large pour sa paire d'yeux à 28.000 facettes. L'essentiel dépasse, un peu comme le derrière d'une autruche lorsqu'elle dissimule sa tête dans le sable, ou comme le sombrero d'un Mexicain endormi contre un poteau électrique. Mais des trois, c'est quand même cette jolie demoiselle bleue (espèce de zygoptère très commune en Europe) qui est de loin la plus maligne : elle n'est peut-être pas bien cachée, mais, au moins, dans cette position, elle ne risque pas de se laisser surprendre par celui qui l'observe. " title="Regard décalé, vous avez dit décalé?" />
Vue ! Très mauvaise cachette pour cette libellule qui se croyait sans doute invisible derrière son brin d'herbe, assez gros pour masquer son long corps et ses grandes ailes, pas assez large pour sa paire d'yeux à 28.000 facettes. L'essentiel dépasse, un peu comme le derrière d'une autruche lorsqu'elle dissimule sa tête dans le sable, ou comme le sombrero d'un Mexicain endormi contre un poteau électrique. Mais des trois, c'est quand même cette jolie demoiselle bleue (espèce de zygoptère très commune en Europe) qui est de loin la plus maligne : elle n'est peut-être pas bien cachée, mais, au moins, dans cette position, elle ne risque pas de se laisser surprendre par celui qui l'observe. " border="0" />
Très mauvaise cachette pour cette libellule qui se croyait sans doute invisible derrière son brin d'herbe, assez gros pour masquer son long corps et ses grandes ailes, pas assez large
pour sa paire d'yeux à 28.000 facettes. L'essentiel dépasse, un peu comme le derrière d'une autruche lorsqu'elle dissimule sa tête dans le sable, ou comme le sombrero d'un Mexicain
endormi contre un poteau électrique. Mais des trois, c'est quand même cette jolie demoiselle bleue (espèce de zygoptère très commune en Europe) qui est de loin la plus maligne : elle
n'est peut-être pas bien cachée, mais, au moins, dans cette position, elle ne risque pas de se laisser surprendre par celui qui l'observe.
(Tony Flashman/Solent
News/SIPA)