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Une étude réalisée par le comparateur d’hôtels en ligne Trivago.fr, révèle que Budapest jouit d'une excellente réputation. Les voyageurs lui attribuent une notation moyenne supérieure à 80 sur 100. Venise, et Bologne obtiennent le même résultat. Ces trois villes ne sont distancées que par Dresde, Cracovie et Bruges. A l'opposé, on trouve Londres avec seulement 72,2. Paris se voit attribuer la note moyenne de 74,58 pour l’ensemble de ses hôtels. Cette évaluation de Trivago.fr a été établie à partir des opinions en ligne, elle concerne 50 grandes destinations européennes et 27 grandes destinations françaises les plus fréquentées. Dans cette dernière catégorie, St-Jean-de-Luz, St-Malo et Chamonix, obtiennent des notes variant entre 79,28 et 79,42. C'est moins bien pour Marseille, Bordeaux ou Lyon avec respectivement 76,48, 75,95 et 75,35.
A travers Soros Fund Management qu'il a créé en 1969, le célèbre financier américain d'origine hongroise George Soros, détiendrait 1,70% du capital de Valeo, soit 1,65% des droits de vote de l'équipementier automobile français. Cette information révélée par le site d'informations financières Wansquare est assez étonnante car on n'est pas habitué à voir Soros investir en France. Il faut cependant préciser que l'action Valeo a perdu près de 40% durant cet été 2011 quelque peu agité, passant de 49,88 € le 7 juillet à 30 € le 23 août mais elle affiche encore une plus-value annuelle de 30%.
En France, l'évocation d'une taxe sur les sodas et sur le prix d'entrée dans les parcs d'attraction fait couler beaucoup d'encre. En Hongrie, c'est un impôt sur les produits très salés ou sucrés qui fait l'actualité. Il entre en vigueur et a été baptisé "taxe sur les chips". Il doit rapporter environ 74 millions d'euros annuels à l’État et concerne principalement les biscuits salés ou sucrés, les boissons énergétiques et les gâteaux pré-emballés. Pour le gouvernement, il s'agit de modifier les habitudes alimentaires des Hongrois, trop portés sur les produits comportant beaucoup de graisse, de sel et de sucre. Et ainsi de lutter contre les maladies qui découlent de ces comportements, comme l'obésité. Cependant, ne sont pas concernés, contrairement à ce qui avait été envisagé à l'origine, quelques aliments traditionnels hongrois tels saucisses, salamis, et autres préparations bien grasses. Certains s'inquiètent des répercussions économiques de cette mesure. Le quotidien Vilaggazdasag révèle que le propriétaire allemand de Chio-chips, qui fait partie d'un vaste empire spécialisé dans la production "d'aliments de grignotage", aurait décidé de revenir sur sa décision d'implanter en Hongrie sa nouvelle usine de pop-corn et de snacks. Cet exemple pourrait être suivi de bien d'autres. Et le journal économique d'évoquer le cas du producteur de boissons énergétiques Hell qui pourrait en faire autant. Quant à la taxe, elle devra être déclarée par le producteur dans le cas d'une production hongroise, ou par l'importateur principal s'il s'agit d'un produit venant de l'étranger.
La nouvelle saison commence bien. Elle s'ouvre avec une rétrospective Béla Vörös, "Béla Vörös, le sentiment de l'humain" dont le vernissage aura lieu le 10 septembre à 11h, à l'Hôtel de Ville de Sèvres où elle se tiendra jusqu'au 30 septembre. Elle est placée sous le haut patronage de S.E. László Trócsányi, ambassadeur de Hongrie en France et en partenariat avec l'Institut hongrois de Paris et réalisée par la ville de Sèvres en collaboration avec le critique d’art Julia Cserba et grâce au fonds d’œuvres légué par Béla Vörös à son fils André. Pourquoi Sèvres demandera-t-on ? Le sculpteur avait son atelier dans cette localité du département des Hauts de Seine et il y est mort en 1983.
Le 12 septembre à 20h, concert d’ouverture de la Master Class de Lívia Rév 2011 qui aura lieu du 13 au 17 septembre courant. A quatre-vingt-quinze ans, Lívia Rév poursuit sa carrière de pianiste et professeur, reconnue internationalement, maints jeunes talents sont venus se perfectionner auprès d'elle tant en France qu'en Hongrie. L'ancienne élève de l’Académie de musique Franz Liszt de Budapest où elle a étudié sous la direction de Leó Weiner et d’Arnold Székely, a été reconnue meilleure interprète des Nocturnes de Chopin en 1988 par la BBC et en 2008 par Radio France. Les cours d’interprétation qu'elle donnera à l’Institut hongrois sont destinés aux élèves du monde entier et le public peut y assister. Le concert de fermeture de la Master Class aura lieu lundi 19 septembre à 20h.
Le 12 septembre à 20h30 aura lieu au cinéma "Le Balzac" 1, rue Balzac, dans le VIIIe arrondissement de Paris, la projection de "Mania, histoire d'une ouvrière d'une usine de cigarettes". C'est un événement. Ce film de 85 min était considéré comme perdu mais il a été retrouvé chez un collectionneur tchèque et restauré par la Filmoteka Narodowa. Il a été tourné à Berlin en 1918 par le réalisateur hongrois Eugen Illés né le 28 janvier 1877 à Debrecen et décédé le 17 octobre 1951 à Budapest. Avec notamment la mythique Pola Negri. A cette séance de cinéma-concert dont "Le Balzac" s'est fait une spécialité, Jerzy Maksymiuk sera à la tête de l'Orchestre de Chambre de Wroclaw "Leopoldinum" pour interpréter la musique qu'il a composée pour la circonstance. La Polonaise Pola Negri, née Barbara Apolonia Chałupiec le 31 décembre 1894 à Lipno et morte le 1er août 1987 à San Antonio au Texas, a commencé comme danseuse au Ballet impérial de Saint Petersbourg. Cette élève de Michel Fokine, chorégraphe de Diaghilev, aborde le théâtre avec Max Reinhardt et le cinéma avec Ernst Lubitsch. Elle mène une grande carrière à Hollywood, surtout dans les rôles de femme fatale, mais comme pour bien d'autres actrices, l'apparition du cinéma parlant y mit un terme. La première projection de "Mania, histoire d'une ouvrière d'une usine de cigarettes" a lieu la 4 septembre à Varsovie, puis suivront celles de Paris, Madrid, Londres, Kiev et Berlin, dans le cadre de la présidence polonaise du Conseil de l'Union européenne.
Le 16 septembre à 21h, à l'Institut hongrois, ce sera Lányok, Filles, d’Anna Faur, film hongrois de 2007, en version originale sous-titrée en anglais. Il s'inspire d'un fait divers. Dans la nuit du 20 novembre 1997, deux adolescentes de 14 ans ont sauvagement assassiné à Budapest un chauffeur de taxi de 29 ans, puis elles se sont enfuies avec la voiture de leur victime avant d'être arrêtées le lendemain matin. Anna Faur qui a travaillé avec des cinéastes tels que Miklós Jancsó, Peter Greenaway ou Kornél Mundruczó a réalisé plusieurs courts métrages et films documentaires avant d'aborder ce premier long métrage.
Le 17 septembre à 10h, comme chaque année, un hommage sera rendu à Yerres à François II Rákóczi, prince de Transylvanie, né le 27 mars 1876 à Borsi, actuellement Borša en Slovaquie, dans la région de Košice et décédé le 8 avril 1735 à Rodosto, aujourd'hui Tekirdağ en Turquie. Il y a séjourné durant 2 ans à partir de 1715, au couvent des Camaldules. En 1937, l’État hongrois offrit à la ville une stèle, œuvre du sculpteur Joseph Csaky. Depuis 1978, elle est dans un square auquel on a donné le nom de Rákóczi et qui se trouve à l'emplacement du couvent. Le 18 septembre 2010, à l'occasion du 275e anniversaire de la mort du prince, a été inauguré son buste en bronze, œuvre du sculpteur hongrois Antal Borsi. Le cœur de François II Rákóczi, contenu dans une urne d'or, aurait été enterré à Yerres, sans que l'on sache exactement où. La cérémonie du 17 septembre 2011 est organisée par la municipalité d'Yerres et l'association Magyar ház de Paris. Sont prévues une messe à 10h à Saint-Honest d'Yerres et une cérémonie à 11h30 au Square Rákóczi.
Le 27 septembre à 20h, Marouan Benabdallah donnera un récital à l'Institut hongrois. Nous avons souvent évoqué la brillante carrière qu'a engagée ce jeune pianiste de 28 ans. Depuis 2003, il se produit dans les salles les plus prestigieuses, Cortot à Paris, Laeiszhalle à Hamburg, Cleveland Play House, Merkin Hall de New York, Oriental Art Center à Shanghai, grande salle de l'Académie Franz Liszt à Budapest, Carnegie Hall de New York, Kennedy Center de Washington notamment. Il est également accompagné par de grands orchestres en Europe, en Asie et aux États-Unis. On relève sur son agenda, un récital le 21 septembre à Debrecen, où il interprètera la sonate pour deux pianos et percussion de Béla Bartok. Puis suivront le 6 octobre un récital au Teatro Colón.de Buenos Aires et un autre le 5 novembre à Washington.
Ce récital du 27 septembre bénéficie du soutien de l’OCP, Office chérifien des phosphates, sponsor officiel de Marouan Benabdallah pour la saison 2011 et en collaboration avec Neemrana France. Il interprétera : Funérailles et Valse Mephisto nº3 de Liszt, Auf dem Wasser zu singen…Liebesbotschaft, Die Forelle (La truite), première version et Soirées de Vienne nº 6 de Schubert /Liszt, Ave Maria, Les cloches de Rome, Sposalizio et Rhapsodie hongroise nº2 de Liszt.
Le 8 septembre à 20h, aura lieu à l'Institut culturel hongrois, 10, rue Treurenberg, le vernissage de l'exposition en hommage au peintre Tibor Dengyel. Elle s'y tiendra jusqu'au 7 octobre, du lundi au vendredi de 10 à 17h. Né le 8 novembre 1913 à Kolozsvár, actuellement Cluj-Napoca en Roumanie, Tibor Dengyel étudie les beaux-arts à Budapest et Rome ainsi qu'à l'Académie Julian à Paris. Il obtint plusieurs prix puis il enseigne pendant quelques années à l'Académie des Beaux-Arts de Budapest. Il part pour la Belgique en 1948 et s'y installe définitivement l'année suivante. Il se consacre à l'exécution de portraits et à la restauration de tableaux dont ceux notamment, de la collection de la baronne I.Thyssen Bornemisza à Munich. Il fait l'objet de nombreuses expositions en Belgique, France, Hongrie, Italie, Luxembourg, Pays Bas. En 1955, il réalise le portrait de S.M. le Roi Baudouin et celui du Premier ministre belge A. Van Acker, ce qui lui confère une grande réputation de portraitiste. En 1965, il ouvre une école privée de peinture et de restauration de tableaux qui attire des élèves du monde entier. En 1997, une grande exposition rétrospective est organisée à Budapest où figurent 60 de ses peintures et dessins. Il meurt le 31 mai 2000 à Bruxelles. Le diplôme de Diamant de l'Académie des Beaux-Arts de Budapest lui est attribué en 2000 à titre posthume.
"Un goût de Pécs..." sera perceptible dans la capitale de la Wallonie du 5 au 10 septembre et se manifestera dans plusieurs domaines, Art et Artisanat, Musique, Gastronomie et Vin, avec le soutien de GAU Namur, Groupement des acteurs urbains. Belsö Kert Galéria de Pécs propose une exposition d'œuvres d'artisans hongrois du 6 au 10 septembre à la Galerie du Beffroi, 13 rue du Beffroi, de 10 à 18h, entrée libre. Le vernissage est fixé au 5 septembre.
Le 7 septembre à 20h, le Villányi Vonósnégyes, quatuor à cordes du Pannon philharmonic orchestra de Pécs, se produira au Théâtre royal de Namur. Il se compose de Márta et Anna Deák au violon, Zoltán Erdélyi, alto et Ildikó Janzsó, violoncelle.
Enfin, du 6 au 10 septembre, il sera possible de découvrir ou de retrouver la cuisine hongroise. Trois restaurants participent à ce programme gastronomique, "le Temps des cerises"et le "Perron de l'Ilon". Ce dernier mettra à son menu, soupe de poisson à la hongroise, rakott krumpli et gâteau Jozsef Dobos. Quant au "Moulin à poivre", il affichera salade façon Tisza, dos de sandre en feuilletage et strudel aux griottes rafraîchi à la vanille.
On apprend que Sandor Kepiro est mort au matin du samedi 3 septembre à l'hôpital de Budapest où il se trouvait depuis la mi-juillet. Sa famille a annoncé la nouvelle mais les causes de ce décès ne sont pas encore connues. Considéré comme l'un des derniers criminels de guerre nazis présumés encore vivants, il figurait en tête de la liste d'anciens nazis les plus recherchés établie par le Centre Simon Wiesenthal. Kepiro qui était né le 18 février 1914 à Sarkad dans le département de Békés, avait été acquitté le 18 juillet dernier par le tribunal de Budapest, par manque de preuves. Le Parquet avait d'abord requis à son encontre une peine de prison ferme puis la défense avait plaidé l'annulation du procès ou l'acquittement. Ephraïm Zuroff, directeur du Centre Simon Wiesenthal d'Israël avait alors qualifié cet acquittement de scandaleux. L'ancien capitaine de gendarmerie Kepiro était accusé de complicité de crimes de guerre lors de la rafle de Novi Sad, du 21 au 23 janvier 1942. Quelque 1200 civils, en majorité juifs et serbes, avaient alors péri et leurs corps avaient été jetés dans le Danube. Novi Sad est la capitale d'une province, la Voïvodine, qui après avoir été austro-hongroise, faisait partie depuis le 1er décembre 1918 du Royaume des Serbes, des Croates et des Slovènes, devenu royaume de Yougoslavie le 3 octobre 1929. Elle fut annexée en 1941 par la Hongrie puis en 1944 acquit le titre de "Province socialiste autonome" dans la République socialiste de Serbie, elle-même dans la République fédérative populaire de Yougoslavie. Actuellement, la Voïvodine constitue une province autonome dans la République de Serbie.
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