Cette écume de verge verte
Au beau sillage de sa croupe
Étend sa trame tel un poulpe
À ma sirène aux mains offertes.
Nous naviguons, là, sur la crête
De ces fantasmes qui me coupent,
Entre ses hanches qui chaloupent,
Hurlant de leurs foudres muettes ;
La blanche ivresse de nos âges
Jouissance amère et sans partage
Jusqu’au beau zénith de son cul ;
Belle amplitude qui me voile
Ce trop d’essences sans dessus,
Ce jour nouveau qui nous dévoile.