Magazine Humeur

A ceci près!!!!

Par Basicinstinct82

Bien qu’à la merci du challenge des temps les plus mémorables, et l’abstraction constante, en filigrane, des aspects les plus rétrogrades et les plus expressifs  de la déconvenue et de la mésentente, l’oeuvre de redressement et de stabilisation progressive, des canaux géniteurs de la mannes des finances publiques,  continuent à faire souscrire à la gestation des procédés les plus usités, les approches les plus innovantes et une méthodologie de la conception et d’affinement qui rompent avec la morosité technique, détractent la gestuelle mal pourvue dans le processus de prise de décisions,  afin que naisse une chaîne de balises, laquelle à son tour, incite à la mise au point, d’une architecture des structures étatiques, de type ouverte, en fonction, du tableau descriptif, des aléas et difficultés, antérieurs, imprévisibles, à l’instant T de l’exécution d’un programme d’action, d’une politique d’orientation ou même d’un projet d’investissement, j’en passe….

Ainsi, dépassant le cadre habituel des subjectivités discursives récurrentes, le dédale coercitif inconsciemment concocté en parallèle par les démons de la discorde, et la rhétorique délocalisée des prémisses de la dérive, l’analyse qui résulte du constat de la situation des finances publiques, n’a cure, des effets pervers d’annonces de la reprise progressive et réelle,  utilisés, de l’économie, et fustige au demeurant et en continue l’enclavement dans le créneau du suivisme, de la subterfuge et le refus d’élucider les entraves au cours soit normal, soit accéléré de l’oeuvre de consolidation et de stabilisation économique, en fonction des besoins exprimés.

De là, à demeurer sceptique, infléchir et pourquoi pas décloisonner, toute approche qui s’y accole, au nom du pacte républicain, qui donna naissance à la plate forme désormais commune, de gestion de l’état,  sujet à remodelage et à adaptation constante, tout en soutenant, une thèse qui allie, le besoin, la disponibilité et la capacité d’action, n’est plus qu’une astuce, une ruse et une ultime tentative de doter la Guinée, d’un programme de développement, ayant un socle qui la dispensera, à un horizon inconnu, des soubresauts d’antan, des convulsions persistantes antérieures et l’ineptie répétée de l’élite politique et intellectuelle.

Partant, l’économie Guinéenne, tels qu’en révéleraient ses caractéristiques et paramètres essentiels aujourd’hui, est de loin, sujette à une satisfaction pérenne.Ce qui un contrepoids à l’ordre voulu et rêvé, lorsque constatant l’entame de la scrutation des actes primo déterminant, d’une volonté débarrassée de toutes contraintes aussi bien en termes de capacité d’action, que de la propension technique à  faire germer de choix judicieux et configurer l’architecture des structures au prorata des engagements allant dans le sens d’une refonte des doctrines préexistantes, qui sont à l’origine de la tentative d’hégémonie ratée de la plupart des états Africains, vu qu’elle n’a de tenants que l’expression excessive, défigurée et imagée de la souveraineté, des errements des politiques publiques et le dispatching inexpliqué des efforts jusque là consentis.

En conséquence, il apparaît d’une logique approuvée et d’une analyse partagée, qu’une option politique, sinon un projet de société, ou un programme de gouvernance, trouve son expansion et ses vertus didactiques, au sein même des aptitudes, dont font montre et preuves, ses initiateurs et ses incarnateurs, pour le simple fait, qu’une autre vertu s’en dégage, celle qui crée un lien étroit entre sa phase de conception, et d’élaboration, et celle d’exécution, c’est à dire, sa mise en oeuvre effective.

Sur ce, le tableau de bord de l’économie nationale, à ne point s’en douter, se présente, sous une forme, qui laisse subsister pas mal de failles qui rendent dérisoire, sa lisibilité, de sorte que, songer rien qu’à l’équilibre du budget, dans un proche avenir, par le biais d’un code minier qui fléchit à mon sens, entre une fiscalité défaillante puisque, ne prenant suffisamment pas en compte, du moins sous un aspect flexible, sa modulation au rythme des retombés et l’expansion de l’investissement.

Exemple, je ne vois pas, l’utilité avérée d’une disposition du code minier qui stipule en gros, je cite: « Toute entreprise ayant exploitée 15 ans, une mine, doit obligatoirement recruter, jusqu’à 90 % de son personnel, parmi les nationaux. Elle est où, le principe de formation continue et progressive à toutes les techniques de gestion des nationaux, à des fins de rétrocession? Il ne s’agit pas de la remettre en cause, mais mieux l’étoffer, en sachant qu’on en a pas fini avec le transfert de technologie, d’où une autre source de dépendance.

A ceci près, je voudrais dire, pour qu’un code soit suffisamment attractif, il faut non pas, reprendre exclusivement le contenu des codes en la matière, supposés meilleurs ou plus appréciés, il s’agit à mon sens, d’étudier avec attention, avant tout, les conflits, les contraintes et les difficultés, antérieurement connus, afin de dresser un tableau illustratif, de la plupart des situations auxquelles on pourrait être confronté. Par la suite, essayer, d’inclurent les spécificités inhérentes à chaque entité, opérant ou ayant déjà opéré, dans le secteur.

Quand à la fiscalité, la première donne à requérir, est une réévaluation des assiettes fiscales à tout point de vue, ensuite s’octroyer, l’audace d’aller, à l’encontre d’un secteur, qui pourrait apporter gros, si on en tire meilleur profit, à savoir, le tertiaire, l’informel, sans jamais omettre, le postulat selon lequel, celui qui sera parvenu, à adopter  une fiscalité souple, et progressive, sur les entreprises, en fonction des rentes et la faire substituer par une productivité agro pastorale locale élevée,  aura touché du bout du doigt, l’une des brèches de la convenance.

à suivre…



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