genre: action, catastrophe
année: 2000
durée: 1h35
l'histoire: Un gigantesque tremblement de terre secoue Los Angeles. Coincés dans une rame de métro, plusieurs survivants se regroupent et tentent de s'en sortir.
la critique d'Alice In Oliver:
Un tremblement de terre à Los Angeles, des passagers prisonniers dans une rame de métro, la panique générale... Rien de très original dans ce qui ressemble à un téléfilm de seconde zone, j'ai nommé Daybreak, connu aussi sous le nom du Métro de la Mort, réalisé par Jean Pellererin en 2000.
Il s'agit donc d'un énième film catastrophe, vu et revu une bonne centaine de fois.
D'ailleurs, on se demande bien ce qui a pu séduire Roy Scheider dans cette production fade et sans intérêt.
Certes, Daybreak (vous remarquerez la similitude avec Daylight, un autre film catastrophe avec Silvester Stallone...) a le mérite de se concentrer sur ses différents protagonistes. Ainsi, nous faisons la connaissance d'une jeune femme, traumatisée par un viol, puis d'un couple mené par par un mari qui a déjà fait deux séjours en prison pour des délits mineurs, puis d'un flic, qui tente de sauver les survivants de cette catastrophe.
Bref, on retrouve tous les poncifs du genre. Seul problème, et il est de taille, Jean Pellerin est un véritable flemmard derrière la caméra.
Le pauvre ! Il est totalement incapable d'insuffler la moindre tension ! De ce fait, on a bien du mal à s'attacher aux différents protagonistes.
Le film est assez lent et quelconque. Même Roy Scheider, d'habitude excellent, cachetonne dans ce film catastrophe et peine véritablement à sauver cette petite production de l'ennui.
Non franchement, c'est vraiment très mauvais !
Note: 01/20
Note naveteuse: 16.5/20