La réaction de l’UDC aujourd’hui, plusieurs années plus tard, est éclairante.
«Cette décision a permis d’empêcher un important afflux de personnes n’ayant aucune raison valable de demander l’asile» prétend la faction extrémiste.
Cette réaction est au contraire la preuve que ce parti n’a pas sa place dans le paysage helvétique et surtout pas au gouvernement: on n’y envoie pas ceux qui violent la loi et s’en réjouissent.