P’tit cœur est à la traine, en peine
Le jour succède à la nuit, la nuit au jour
Jour, nuit, nuit, jour
Dans le puits sans fond
P’tit cœur sonde
De plus en plus profond
Sans en capturer l’onde
P’tit cœur a balayé devant sa porte
Avec l’espoir de ne plus les revoir
Les regrets, les illusions, le désespoir
Sans imagination, le vent les emporte
Tant de beautés, de merveilles, de prodigieux mystères s’offrent au regard sur le chemin de l’Humanité
Tant d’errements dans l’esprit humain, marquent le chemin de feu, de fureur, du sang vermeil de l’Humanité
Depuis la nuit des temps, sous l’apparente stabilité d’un univers en perpétuel mouvement.
Seul, reste de l’univers, la ritournelle éternelle d’un universel présent de l’aube du temps
P’tit cœur
Le sens, la face cachée, voilée de cette « réalité » ou-les-trouver ?