30 Août, la bêta de Hellbreed s’achève dans les cris de la foule en liesse et laisse place à sa version officielle. Ce hack’n'slash, lorgnant graphiquement, sans honte, sur le vénérable diablo (I ou II), sera jouable, comme c’est la mode depuis quelques temps, sur navigateur, ce qui implique aussi sur la tablette tactile de madame (ou monsieur, pas d’ostracisme). On nous susurre au creux de l’oreille qu’on pourra s’envoyer en l’air jusqu’à trois « à la recherche des fragments du monde de Manjuri pour pouvoir les réunifier ». A priori, et je me fais peut-être un film, on va encore une fois sauver le monde. Mais c’est ça qu’est bon !! Non ?
L’équipe d’Inflammables Studio, qui réside dans la bourgade de Heidelberg, spot pour médiéviste au charme pittoresque du Sud-Ouest de l’Allemagne, bordant le Neckar avec ses 145 000 habitants et son château, est … euh… vous pouvez aussi vous renseigner sur le guide du routard à l’entrée : le bashage en terre germanique. Et si je ne m’y connais guère en géographie – l’école c’est loin – je sais qu’il y aura plus de 250 monstres différents dans cette œuvre (utilisons des mots forts) qui, l’habitude on commence à avoir, ratisse large en en appelant au « joueur occasionnel comme au vétéran ». C’est gratos et c’est là : http://www.hellbreed.fr.