Necessary Roughness // Saison 1. Episode 10. A Wing And a Player.
Après avoir tenté un peu tous les sports, Dani Santino s'intéresse maintenant à l'ancienne mascotte de l'équipe qui a un problème qui semble impliquer Asperger. L'histoire était donc à la fois plus caractérielle et touchante. On sent que le scénario est un peu plus travaillé. Bon, c'est vrai que j'aurais quand même aimé que Necessary Roughness soit une série qui arrive à être plus imaginative mais cet épisode change un peu la donne et d'une bonne manière. J'ai trouvé le personnage de la semaine attachant et bien plus que les précédents. C'est tout à l'honneur de la série d'avoir su créé un vrai lien entre deux personnages. Bon, c'est vrai que les sentiments artificiels, ce genre de série arrive à en mettre en place très souvent mais Callie Thorne lui donne un ton différent et surtout appréciable.
L'épisode nous permet aussi de nous concentrer sur T.K qui va devoir tenter de retrouver la flamme qu'il avait dans la presse et éviter tous les scandales. Ainsi une jeune journaliste séduisante va suivre le jeune champion dans tous ses faits et gestes à ses risques et périls. Bien sûr, l'image qu'il va faire ressortir, celui d'un homme qui malgré ses déboires peut prendre soin d'enfants, et qui est suivi par une psy afin qu'il ailles mieux va en sa faveur. C'est d'ailleurs un peu trop facile, il aurait fallu un dernier coup de couteau dans la peau de T.K pour qu'il comprenne enfin qu'il ne fait pas vraiment les bons choix dans sa vie et qu'il reste encore un peu trop impulsif. D'ailleurs, la scène finale m'a un peu ennuyé, j'ai trouvé que ça collait pas trop avec ce que j'attendais du personnage qui fête déjà sa victoire. Dommage.
Note : 6/10. En bref, un épisode qui permet de libérer un peu les habitudes de la série et son schéma un peu trop classique. Reste quand même quelques vides par moment. Dommage.