Lancement du challenge ROAARR à l'initiative de Mo' du Bar à BD.Principe : Des BD, des prix (Fauves d'Angoulême, récompenses aux Eisner Awards, au festival BD boum... etc, des jurys qui ont souvent bon goût !) et des chroniques de blogs qui les mentionnent.
Pour plus de détails, c'est ici._____________________________________________________
Liste actuelle des BD chroniquées ChezLo, incluses dans ce challenge ROAARRR (le cri du fauve qui lisait des BD !) et signalées par le logo du fauve rugissant :
Angoulême – Fauves d’Or (4)Vivons heureux sans en avoir l'air « Entre humour, réflexions, poésie, l’histoire mêle réalisme et rêve avec ce tableau très particulier qui sera un cadeau de mariage incompris»Poulet aux prunes« Je l’ai trouvé très bon ce poulet aux prunes, relevé de malice et d’humour, saupoudré de rêveries et de souvenirs»Là où vont nos pères« Les dessins sont extraordinairement aboutis, nuancés de lumière, aux teintes sépia, aux contours cotonneux »Cinq mille kilomètres par seconde« Un trait raffiné, des silhouettes légères. Beaucoup d’élégance dans l’art de peindre l’aquarelle »
Angoulême – Prix Regards sur le monde (2)Rebetiko, la mauvaise herbe« Beaucoup d'hommes, et cette femme à demi énigmatique, personnage secondaire mais grand symbole de liberté»Gaza 1956, en marge de l'Histoire« C'est douloureusement limpide, même si sa rigueur journalistique conduit Joe Sacco à nuancer en permanence, et distinguer le témoignage objectif de l'émotionnel, la réalité passée au souvenir bancal »
Angoulême – Prix Révélation(6)Persepolis« Le travail graphique de Marjane Satrapi que j'admire toujours autant relate avec énergie, réalisme et psychologie les étapes de la vie de notre héroïne jusqu'à sa maturité et sa vie de femme iranienne »Aya de Yopougon« L'adolescence de ces jeunes filles et garçons semble décrite avec réalisme, les réalités sociales ne sont pas occultées »L'éléphant« Ce qui frappe d'emblée en ouvrant l'album, c'est ce dessin brut, violent, sans concession »Le goût du chlore« Un bon moment de lecture, une parenthèse toute bleutée qui termine par un grand moment de suspense pendant lequel on respire mal »Rosalie Blum-tome 3« Toujours une explosion de couleurs, ces traits fins et poétiques, cette malice et parfois les décors de cirque-cabaret luxuriants qui flattent bien l'œil »La parenthèse« Un témoignage rare et fort, objet d'un lourd travail de l'auteure sur elle-même. Lutte contre la maladie, renaissance et amour»
Angoulême – Prix spécial du Jury (1)
Asterios Polyp
« ODNI (Objet Dessiné Non Identifié). (...) Souple, affirmée, droite, courbe... Chaque voix a sa personnalité, son timbre »
Angoulême – Prix du Public / Fnac-SNCF (2)
Les mauvaises gens « Les mauvaises gens est une preuve supplémentaire que la bande dessinée est un media bien approprié pour le récit documentaire »
Kiki de Montparnasse
« C'est un moyen absolument réjouissant de découvrir la vie d'une femme atypique au parcours un peu off »
Angoulême – Prix Tournesol (3)
Palestine, Dans la bande de Gaza« Son humeur est souvent lasse devant tant d'injustice et de cruauté humaine, parfois exaspérée de cet étalage de la souffrance par les hommes, de cette admiration pour les martyrs »
Rural !
« En journaliste reporter et ami, Etienne Davodeau s'est incrusté pendant un an chez des agriculteurs, a écouté, entendu, compris et restitué leur quotidien et leurs combats »
Autobio
« Une bande dessinée qui porte à sourire, décrivant avec précision les comportements de nombreuses familles contemporaines soucieuses de leur impact sur l'environnement »
Angoulême – Prix René Goscinny (1)
Lucille
« Ce pavé de plus de 500 pages de planches dessinées au trait léger, aux textes rares, affranchis des bulles et autres cases de rigueur, ce pavé qui s'égrène à une vitesse considérable nous procure une palette d'émotions »
Angoulême – Jury œcuménique (2)
Le photographe
« On sourit, mais l'atmosphère est lourde, grave, menaçante. Les cases sont cependant emplies de délicatesse et de réalisme, grâce à l'alternance des photographies et des dessins »
Là où vont nos pères
« Les dessins sont extraordinairement aboutis, nuancés de lumière, aux teintes sépia, aux contours cotonneux »
Eisner Awards (6)
Fun home
« Alison Bechdel ne se contente pas de raconter ses souvenirs. Dans un récit construit de façon complexe, elle analyse inlassablement ce dont elle se rappelle, pour plonger dans les non-dits du passé, dompter les douleurs étouffées »
Exit Wounds
« Il manque quelque chose pour que je sois captivée : c'est avec un léger ennui que j'ai lu l'album »
Black Hole
« J’ai aimé une certaine virtuosité des dessins, le mélange irréel / réel parfois très fluide, assez naturel pour le lecteur »
Swallow me whole
« Des planches en noir et blanc avec des cases très contrastées, une histoire qui s'apprécie mal, qui captive peu, c'est le résultat non glorieux de ce que je retiendrai de cette bande dessinée »
Asterios Polyp
« ODNI (Objet Dessiné Non Identifié). (...) Souple, affirmée, droite, courbe... Chaque voix a sa personnalité, son timbre »
Le photographe
« On sourit, mais l'atmosphère est lourde, grave, menaçante. Les cases sont cependant emplies de délicatesse et de réalisme, grâce à l'alternance des photographies et des dessins »
ACBD – Grand Prix de la Critique (4)
Asterios Polyp
« ODNI (Objet Dessiné Non Identifié). (...)Souple, affirmée, droite, courbe... Chaque voix a sa personnalité, son timbre »
Tamara Drewe
« Il y a du texte narratif, des coupures de journal qui relatent les chroniques de Tamara, et des bulles au dessins et aux couleurs délicates »
Les petits ruisseaux
« La malice de Rabaté est perceptible : quand il nous entraîne dans cette province reculée entre deux retraités aux maisons défraîchies c'est pour mieux nous surprendre et nous émouvoir à mesure que l'on découvrira la face B de ses personnages »
Les mauvaises gens « Les mauvaises gens est une preuve supplémentaire que la bande dessinée est un media bien approprié pour le récit documentaire »
Prix des Libraires (4)
Quartier lointain
« On y croit, on le vit avec Hiroshi ce retour réel dans son passé, cette immersion dans l'enfance avec le regard et le vécu de l'adulte conscient du décalage temporel... »
Le photographe
« On sourit, mais l'atmosphère est lourde, grave, menaçante. Les cases sont cependant emplies de délicatesse et de réalisme, grâce à l'alternance des photographies et des dessins »Blast
« En plus d'être un album qui regorge de planches absolument sublimes, (…) les textes sont d'une grande qualité, on se délecte des paroles de Polza qui manie la langue française à merveille, mettant de la clarté dans le récit, dans cette bande dessinée très grise »
Polina
« Un bel album aux planches toutes de noir et blanc et gris, aux traits mêlant finesse et épaisseur, rappelant ainsi le graphisme de la calligraphie. »
BD Boum (5)
Mes années bêtes et méchantes
«Avec ce récit et ses dessins humoristiques, parfois alternés avec de réelles illustrations tirées de l'ancien magazine, on passe un bon moment »
L'Affaire des Affaires
« L’Affaire des Affaires rend compte des questions quotidiennes que se pose le journaliste engagé, de la difficulté de faire passer un message au grand public quand les media retiennent surtout les aspects superficiels et «people»»
Couleur de peau miel, tome 2
« Entre humiliations, rêves, incompréhensions, Jung peine parfois à se définir… »
Lucille
« Ce pavé de plus de 500 pages de planches dessinées au trait léger, aux textes rares, affranchis des bulles et autres cases de rigueur, ce pavé qui s'égrène à une vitesse considérable nous procure une palette d'émotions »
Le photographe
« On sourit, mais l'atmosphère est lourde, grave, menaçante. Les cases sont cependant emplies de délicatesse et de réalisme, grâce à l'alternance des photographies et des dessins »
Japan Expo Awards (1)
Quartier lointain
« On y croit, on le vit avec Hiroshi ce retour réel dans son passé, cette immersion dans l'enfance avec le regard et le vécu de l'adulte conscient du décalage temporel... »___________________________________________________