La lecture de cet ouvrage de Cavanna m’a été vivement recommandé par une amie et l’envie que j’avais de le lire (indépendante de toute relation avec le programme de lettres, chose rarissime et uniquement concevable en vacances – ah, ce « surmoi » tyrannique du prof de lettres !... - ) était aussi conditionnée par la volonté de retrouver avec certains de mes proches les racines italiennes et la figure auréolée de ce grand-père à qui j’ai déjà consacré des lignes et une nouvelle entière dans « Nouvelles pour l’été ».
Je n’ai pas tout aimé dans cette autobiographie que j’ai trouvée un peu décousue et souvent « débridée » tant dans le vocabulaire que dans la narration... Mais en revanche, j’ai pris plaisir à retrouver quelques fragments de l’image de mon grand-père. Je vais donc, dans les articles qui suivent, compléter cette figure que j’ai dessinée à grands traits dans la nouvelle « aimer la vie ».