La perversité du fonctionnement de notre système économique

Publié le 01 septembre 2011 par Philippejandrok

Suite III...

- Imaginez un instant, si nous vivions dans un monde où il serait très difficile pour un médecin de ne pas souscrire aux règles imposées par les laboratoires pour vendre leurs médicaments, il deviendrait un médecin suspect et même dangereux pour l’économie de la nation, des méthodes d’intimidations sourdes, souvent répétées le frapperait, contrôle fiscal, puis dépôt de divers plaintes pour limiter son exercice, voire, jusqu’à le supprimer.

On parle souvent de mafia dans les milieux voyous, mais on oublie de souligner que les méthodes pourraient être identiques auprès des politiques et des fabricants de pilules diverses. Tous les moyens seraient donc bons pour faire fonctionner l’économie et s’enrichir aux dépens des patients qui ne cherchent de leur côté, qu’une chose, guérir.

Le combat est injuste et immoral, d’un côté nous avons des patients atteints de maladies diverses, de l’autre, des laboratoires qui entretiennent les maladies en soignant une pathologie et en en créant une autre, et peut-être même pas volontairement, mais qui sait ?

Prenons l’exemple des greffes d’organes ; un individu greffé est un individu pharmaco dépendant à vie et les médicaments qu’il est obligé de prendre, comme les anti rejets et autres substances, vont inévitablement atteindre ses organes saints jusqu’à les épuiser, celui ou celle à qui on a donné l’espoir d’une autre vie n’en profitera pas très longtemps, malheureusement, mais comme ses membres étaient malades, il fallait bien trouver une solution pour l’aider à survivre ; et je ne parle pas des prélèvements d’organes sur des vivants considérés  morts cliniquement par commodité pour faire avancer la science, parfois, je me demande si le Dr Mengele n’a pas laissé derrière lui de nombreux fils spirituels agissants.

Le seul qui tire son épingle du jeu, c’est le chirurgien et surtout, le laboratoire qui produit les médicaments dont le patient opéré ne peut plus se passer. Tant que le patient est assuré, il a droit à des remboursements, mais sans assurance, il ne peut plus se soigner et il ne lui reste plus qu’à s’éteindre, car le laboratoire ne fournit pas de médicaments gratuitement, et à personne.

Le laboratoire est comme un avocat, qu’il gagne ou qu’il perde, ses honoraires sont toujours réglés.

Il y a déjà plus d’une trentaine d’années, des médecins disaient clairement que le développement des maladies était lié au mode de vie, alimentation, stress, pollution, engrais chimiques… Les grands pontes de la médecine se sont bien moqués de ces naïfs qui mettaient en doute la sainte parole de la médecine allopathique, qui du haut de sa science, statuait sur tout et n’importe quoi – ne disait-on pas que les nourrissons n’avait pas la sensation de la douleur, qu’ils n’étaient pas conscients, ne disait-on pas que les animaux n’en n’avaient pas d’avantage et que l’on pouvait les opérer sans anesthésie et qu’ils ne sentaient rien, bien sûr, ils n’avaient pas d’âme, donc pas de conscience - , mais aujourd’hui, une grande partie du corps médical, lassée de voir les gens tomber comme des mouches autour d’elle, affirme qu’effectivement, le processus de développement de la maladie et de guérison s’accompagne d’un changement indispensable du mode de vie et d’alimentation et donc d’un retour aux valeurs essentielles de la vie et de la nature.

Ah, l’alimentation, et contre cela, les laboratoires ont du mal à lutter, pas si sûr.

Imaginons un scénario science fiction, et supposons qu’il existe certains laboratoires situés dans les pays émergeants possédant des filiales dans le domaine de l’alimentation animale et que ces mêmes laboratoires intégreraient involontairement des mycotoxines et plus volontairement des gluten, des farines de soja transgénique obtenues à partir d’huiles rances et impropres à la consommation, de la cellulose, enfin une quantité de produits de qualité médiocre dans les croquettes qui rendraient malades nos petits amis à quatre pattes. Les vétérinaires parfaitement conscients, auraient dans leur pharmacie les remèdes à la pathologie déclarée par les chiens et les chats qui s’empoisonneraient à plus ou moins long terme, et comme par hasard, le mal et le remède seraient fabriqués par le même laboratoire via des filiales indépendantes. Bien sûr, on ne peut pas croire un seul instant que les industriels de l’agro alimentaire agiraient de la sorte consciemment et pourtant, aujourd’hui en Chine, tout est pollué, l’eau, les fruits, les légumes, les viandes, absolument, tout, car la seule chose qui compte, c’est le profit et la réussite, qu'importe la manière de l'obtenir ; et toute cette nourriture chinoise, qui la consomme ?

Pourquoi n’en irait-il pas de même pour les humains à l’avenir ? La meilleure façon de vendre des médicaments ne serait-elle pas de rendre les populations malades et dépendantes ?

Les fruits et légumes chargés de polluants divers, engrais chimiques, pluies acides, les viandes contaminées de la même manière, les bêtes étant nourries aux farines de cadavres (vache folle), les plats cuisinés trop salés, toutes les boissons, sodas, jus de fruits, bourrés de sucre, de produits chimiques (colorants, conservateurs…) et d’acidité, or, on sait que si le taux d’acidité du corps est trop élevé, les maladies s’installent.

Au Japon, tous les hôpitaux sont équipés de l’eau Kangen et au lieu de soigner avec des médicaments leurs patients, on les soigne avec une eau sans acide, avec un Ph neutre, afin de permettre au corps de se rééquilibrer et de renforcer ses propres défenses immunitaires qui chassent le mal, il faut ajouter que le régime alimentaire du Japonais est excellent, enfin, il l’était, car la jeunesse japonaise cherche à présent à profiter de la « bonne nourriture » Américaine, sodas, boissons lactées, hamburger, cette jeunesse qui commence également à développer les mêmes pathologies liées au sucre et aux acides. Je ne prétends pas que l’eau Kangen soit suffisante pour guérir un cancéreux en stade terminal, mais si un soin à l’alimentation et à l’eau de qualité est accordé, des progrès notoires peuvent se faire ressentir.

En clair, il serait donc dans l’intérêt des laboratoires et des médecins que les citoyens du monde s’alimentent mal, car plus ils mangent mal, plus ils sont malades et mieux ils font fonctionner l’industrie pharmaceutique et médicale qui sont devenues depuis la fin de la seconde guerre mondiale, un business particulièrement rentable.

Et je n’ai pas encore parlé des vaccins et de leurs effets dévastateurs, d’autant que l’Institut Américain de Médecine vient de publier un article selon lequel les effets indésirables des vaccins seraient plutôt anecdotiques.

Pourquoi faire confiance à une telle étude produite par cet institut qui sert avant tout une économie que rien ne doit abattre ?

Plus de 300 millions de patients à vacciner rien qu’en Amérique, cela vaut bien une interprétation favorable, n’est-ce pas, comment peut-on être certain de la bonne foi d’une telle étude dans le climat actuel ?

Chacun admet que les empreintes digitales d’un individu sont uniques, mais personne ne semble comprendre que sa chimie organique l’est autant face à une molécule chimique ou à un vaccin et que le patient ne réagira pas de la même façon face à un médicament que son voisin. Les tests sont réalisés à partir d’un échantillon de la population, mais est-ce seulement suffisant ?

Il suffit d’être celui dont le système immunitaire ne supporte pas le vaccin pour développer immédiatement une réaction qui abouti le plus souvent au déclenchement d’une maladie et ou à une mort certaine, c’est le cas de ces patients vaccinés inutilement contre l’hépatite B qui ont déclenchés une sclérose en plaque parce qu’ils avaient justement une faiblesse immunitaire à ce niveau, que le vaccin a réveillé.

Le laboratoire producteur du vaccin ne pouvait pas savoir, c’est certain, mais tout de même, le vaccin est partiellement en cause dans le cas de cette pathologie et cela remet en question l’hégémonie de la Science et des vérités imposées par celles-ci, ou alors, si la science était scrupuleusement appliquée dans le cas des tests, les vaccins et autres médicaments devraient alors être parfaits, est-ce le cas ?

Bien sûr, le risque zéro n’existe pas, et les laboratoires refusent d’accepter cette relation de cause à effet dans le cas de la sclérose en plaque, et la question qui doit être posée est pourquoi, et qui a décidé d’imposer cette vaccination à la population et principalement aux fonctionnaires et surtout, dans quel intérêt ?

Était-ce pour protéger la population ou était-ce pour vendre des vaccins en grande quantité et amortir le coût de nombreuses années de recherches ?

Pour écouler des médicaments et des vaccins, on fait régner un climat de terreur grâce à la presse, aux médias, on insiste sur le fait que si l’on n’est pas vacciné on risque de tomber malade et pire, de mourir, nos enfants risquent de mourir, c’est la meilleure des méthodes et elle fonctionne à tous les coups, c’est une forme de chantage pervers, alors, que faire ?

Se faire vacciner et sauver ses enfants ou ne pas le faire et prendre le risque de les voir tomber malades et mourir devant nous ?

Que feriez-vous, qu’avez-vous fait ?

à suivre...