Qu’ils ne consomment plus assez. Que le climat est morose et, o divine découverte, que tout ça découle des crises américaine et européenne …
Mieux, que les indicateurs eux-mêmes ne seraient pas fiables en Suisse. Ils manqueraient eux-mêmes … de confiance.
Il faut dire que quand c’est UBS qui étudie la confiance, on ne peut qu’être très méfiant sur ses conclusions.
D’autant qu’UBS a contribué, contribue et contribuera encore au système et au trouble qu’elle dénonce.