Lorsque deux catastrophes industrielles se rencontrent, cela donne ceci: Metaleurop rencontre Sarkozy et vice-versa.
Verbatim de cette rencontre :
-Nicolas Sarkozy a défendu jeudi un capitalisme "intelligent", par opposition à un capitalisme"sans foi ni loi" ou "spéculateur"
-"Ce qui s'est passé ici était inacceptable. L'entreprise avait pollué puis elle était partie, les gens étaient
désespérés", a-t-il souligné. "Si on vous avait dit que cinq ans après (la fermeture), tout serait dépollué" et qu'autant d'emplois
"seraient recréés..."
-"Du capitalisme sans foi ni loi, il faut faire un capitalisme
intelligent", a-t-il martelé
-"Ce n'est quand même pas rien. Voilà le site qui était le plus pollué de France et on
réindustrialise sur quoi? Sur des industries de l'environnement!", s'est-il exclamé. "C'est exactement le pari qu'on fait: On peut avoir des objectifs
de croissance et respecter la nature"
Nicolas Sarkozy est donc aux antipodes dans le verbes d'avec ses actions déstinées aux revenus les plus aisés en France. Il a donc dû
puiser sa nouvelle candeur naturelle chez ses collègues industriels au casque à pointe d'outre Rhin.
Il nous fait donc sa Brigitte Bardot, énamourée de sa plastique, qui découvre la vie: ha bon le capitalisme c'est pas bien ?
Ha bon...Le capitalisme c'est pas bien
a pourtant fait le choix des plus riches en 2007 contre la partie la moins aisée en
France_bug_fck