Aujourd’hui il fait particulièrement moche mais c’était mardi 19 Février.
Et le mardi 19 février, il faisait beau, il faisait doux, je délibérais sur la nécessité absolue de me procurer un taille crayon USB et accessoirement le groupe d’édition américain Condé Nast lançait la VF de GQ.
« Messieurs, on pense beaucoup à vous aujourd’hui… dans les kiosques. Un magazine «masculin, beau et intelligent» se lance pour vos beaux yeux. GQ, prononcez «djikiou» pour Gentlemen’s Quarterly. Si le titre ne sonne pas français, c’est que son origine est américaine (sans déconner). GQ est né en 1957 aux Etats-Unis sous la forme d’une revue trimestrielle consacrée à la mode masculine. Cinquante ans plus tard, il s’en vend 852 000 exemplaires par mois et le titre a fait des petits dans douze pays. »
« Les échecs de masculins comme Robin (édité par le journaliste Christian Robin) ou Men’s Health (Springer France) ne font pas peur à Xavier Romatet, PDG de la filiale française du groupe d’édition américain Condé Nast (Vogue, Glamour…) : «Notre magazine ne sera ni “trash” ni “fashion”. Ce sera un masculin généraliste qui s’adressera aux hommes, âgés entre 25 et 40 ans, mais qui ne parlera pas spécifiquement des hommes», explique Xavier Romatet. »
Ca c’était la minute culture pompée sur Libé et le Figaro parce que très franchement, l’histoire de « Jéku », on s’en cogne pas mal.
Donc au sommaire, Beigbeder, Bayrou, Cassel, le retour de la moustache (sans déconner), des pubs de Mercedes et 12 tests « quel type d’entrepreneur êtes vous ? ». Oui bref. Inutile de rajouter que tout modissimo est abonné tellement qu’on a été emballé.