The Lying Game. Saison 1. Episode 3.

Publié le 30 août 2011 par Delromainzika @cabreakingnews

On m'a dit, pour vendre faut du sexe, je mets du sexe

The Lying Game // Saison 1. Episode 3. Double Dibs.


Toute cette série est un terrible jeu que j'aime bien suivre. Oui, c'est à la fois mauvais et terriblement addictif. C'est notamment du au fait qu'Adrian Pasdar a une vraie tête de pervers sexuel. Non mais cher amis, regardez son personnage, il est tout sauf quelqu'un de normalement constitué. Notamment dans ce cliffangher de fin où il espionne Emma entrain de parler à Sutton, on devine à son regarde qu'il aimerait tellement se faire les deux soeurs jumelles un soir comme ça, pour passer le temps dans cette ville presque morne et déserte. Je suis d'accord sur que la série est tournée dans ces villes américaines faites pour les vieux, comme Colorado Springs ou Palm Springs. En tout cas, c'est bel et bien la population, donc il n'a pas trop de quoi se mettre sous la dents. Bref, ce nouvel épisode de Lying Game était bien mieux que le précédent, on avance enfin dans l'intrigue de la mère, mais… cette folle est bien bizarre. Je ne sais pas trop ce que la suite nous réserve mais je suis curieux de le savoir.
Alors, on va aussi revenir sur cette histoire d'ordinateur. Et c'est qu'il y en a des histoires d'ordinateurs dans cette série mais en long et en large car même du côté de Sutton à Los Angeles aussi y'a des ordinateurs qui se font fouillé et je suppose par ce fou d'Adrian Pasdar. Je l'imagine entrain de regarder des rediffusions des séances de webcam des deux héroïnes jumelles. Ca semble tellement poilant en tout cas. Bref, l'épisode s'intéresse donc enfin à Sutton (qu'on avait pas réellement vu depuis un bon bout de temps) et aussi à son acolyte californien qui l'aide dans ses recherches. Ce que j'aime bien c'est que cela me ramène aux téléfilms Lifetime de l'après midi de TF1. Oui, j'ai un peu honte mais quand j'avais 15/16 ans, j'aimerais bien regarder ce genre de téléfilms bidons aux intrigues surfaites et surtout tellement bateau qu'on sait qui est le tueur dès le début. Ah oui, j'avais oublié, Adrian Pasdar ou Alec Rybak pour les intimes est le père de Madeline. Et justement…
Ce père castrateur veut pas trop que sa fille adorée sorte voir ses amies, surtout quand c'est pour faire plus que la bise à Eduardo son professeur de danse pour son récital, qu'elle a volée à Laurel (sans le savoir bien sûr puisque de toute façon c'est Alec qui a tout arrangé). Et j'aimerais bien qu'on voit plus qu'un mouillage de bouche mutuel entre Eduardo et Madeline, un truc du genre plongeage de biscuit dans le pot de miel. Vous ne trouvez pas ? C'est la même chose pour Emma et Ethan car ils se tournent tellement autour que cela devient plus chaud qu'une baraque à frite. Il vont sûrement aller faire ça dans la caravane de ce dernier, plantée en plein caniart, rien que pour dire à Emma : va-y, enlève moi ça, t'es mieux que Sutton de toute façon. Et les ennuis scolaires commencent pour Emma qui se fait rodée car elle a rendue un essai d'anglais qui ne ressemblerait pas du tout à la mauvaise élève qu'était Sutton.
Mais pourquoi diable a t-elle voulue être une élève parfaite ? Vous m'expliquez ? En tout cas, ça sent bien le roussi tout ça, elle n'arrête pas de faire des gaffes, comme inviter Ethan à dîner en le présentant comme le petit ami, ce dernier était accusé d'avoir volé l'ordinateur de Sutton (alors que bon, on sait très bien que c'est pas lui). C'est tellement WTF que parfois je me demande ce que les scénaristes ont derrière la tête. Même Les Feux de l'Amour seraient subjugués devant de tels rebondissements à en faire sauter la baraque des Abbott ou des Chancellor. Au plaisir de vous faire plaisir. Alors voilà, cet épisode était bien fun et sympathique, les intrigues avancent un peu mieux et ça fait plaisir à voir. On a aussi droit à un nouveau, intérêt amoureux pour la soeur de Sutton. Pourquoi pas. Wait & see..
Note : 5/10. En bref, comme Rebecca Black l'a dit : "Fun, fun, fun".