Magazine Cuisine
Suite à la précédente histoire, voici mon humble contribution pour cette deuxième édition du petit tour oenophilo-littéraire de nos célèbres régions d'appelations controlées.
Cette histoire Romanée-Conti
par un ami est très Beaune.
Hermitage de plusieurs générations, le Château Grillet était loin d’avoir les Cotes Rôties, en effet situé dans Les cotes du Rhône, le paysage Fleurie nous rappelait Irancy. C’est ici que débute cette Sancerre histoire.
Saint Nicolas de Bourgueil de son nom, est un enfant complètement Fitou. Depuis son Moulin à Vent il contemplait avec
Margaux, sa femme, la belle Cadillac de Mr Saint Julien, propriétaire du
magnifique Clos de la Roche, située dans La grande rue nommée Bienvenues-Bâtard.
Meursault d’envie d’aller Vacqueyras dans ce magnifique Château, Saint Nicolas de Bourgueil prit sa Banyuls est fonça. Et c’est en croisant, son voisin Batard montrachet qu’il Rully sur un cep de Carignan qui l’envoya directement dans l’ Arbois. Saint Nicolas de
Bourgueil n’était pas Macon mais il été bien Pommard à présent.
Il Marsannay par ici et là, et arriva dans un village nommé Montpeyroux. Il été bien Cahors et Cassis et décida d’aller se reposer à l’Etoile (bar hôtel restaurant).
Il s’arrêta au Berlou de l’hôtel et Corbières quelques verres de Patrimonio. Une jeune fille
s’avança et il devint Rosette des Anjous. Heureusement il avait sa ceinture Caramany qui cachait La Tâche. L’ambiance
Saint amour, Régnié, Saint Nicolas de Bourgueil proposa à
sa Juliénas d’aller balader Entre deux mer, les cheveux Valençay dans l’air.
Mais ce qui devait arriver, arriva, et Juliénas Sauternes dans l’eau. Mais depuis son accident à Beaumes de Venise, Saint Nicolas de Bourgueil déteste l’eau.
Minervois, il Cornas ses manches et s’avança en
Madiran : « je te Jurancon que si je
t’attrape au Fronton, tu seras Viré-Clessé » …
Avis aux artistes .... A vos claviers pour rédiger la troisième édition.....
Julien,