Quatrième de couverture :
Deux bagues assorties, deux gages d'amour et de fidélité éternels... Taillées au temps de la Rome antique, elles devaient sceller les vœux passionnés des amants. Au fil des siècles, elles n'ont fait que précipiter leur sort funeste... En 1922, tandis que Paris tente d'oublier le drame de la Grande Guerre dans le tourbillon des années folles, l'un des deux anneaux refait surface. Antoine Maunier, un ancien lieutenant, en fait l'acquisition, persuadé d'avoir déjà vu un bijou similaire. Dans son souvenir, il était porté par une jeune femme à la beauté irréelle. Antoine doit la retrouver. Mais de mystérieux inconnus convoitent sa bague. Et pour cela, ils ne reculeront devant rien...
Mon avis :
Voilà un moment que je voulais lire le premier opus de ce dyptique, et quelques mois seulement qu'il était dans ma PAL. Et j'ai été bien inspirée en l'ouvrant enfin ! Est-ce de la grande littérature ? Non, certainement pas. Mais on n'a pas forcément besoin de grande littérature pour passer un agréable moment de lecture. Et c'est le sentiment que j'ai eu en fermant ce livre.
L'histoire est alléchante : deux anneaux symbolisant l'amour forgés à l'époque de la Rome antique mais qui semblent avoir un effet plutôt néfaste sur les amants. L'histoire se déroule en 1922 à Paris. Pourquoi à cette période ? Je pense que c'est uniquement pour pouvoir utiliser comme toile de fond la Première guerre mondiale. Le personnage principal est Antoine Maunier, vingt-huit ans, un rescapé de la guerre justement et qui va se trouver propriétaire d'un belle bague dont il est persuadé d'avoir déjà vu sa jumelle quelque part. Il part donc à sa recherche. J'ai beaucoup aimé Antoine et son caractère romantique.
Le récit est composé de cinq chapitres : trois si situent en 1922 et les deux autres nous font remonter dans le temps. La première historiette se déroule à Rome dans l'Antiquité et la seconde au Moyen-âge lors de la chute des Templiers. Cette façon de raconter l'histoire des anneaux est vraiment sympa pour le lecteur. On rêve et surtout on ne s'ennuie pas.
Il me tarde de lire la deuxième partie, ROMA.