Cette semaine s'annonce riche en rencontres (offline) sur Lyon, avec l'id-live ce Jeudi qui vient (en matinée), le Twunch Management (déjeuner).
En effet, alterner en allant au-delà des pixels de temps en temps, est plutôt une bonne chose et permet d'en savoir plus sur la vision des personnes.
Je vous propose de rejoindre le groupe qui s'est formé autour du 1er Twunch Management, qui se fera au Café Chenavard, 20 Paul Chenavard, 69001 LYON à partir de 12h00.
Les thèmes de ce déjeuner-débat animé par Marie-Pierre Fleury (@idcarrieres) et Sylvaine Pascual (@sylvainepascual) seront les suivants :
- Qu’est-ce qu’un mauvais manager ?
- Qu’est-ce qu’un bon manager ?
- Quelle formation pour assurer les compétences managériales ?
Il est assez complexe de qualifier un manager de bon ou de mauvais. Avant d'entrer dans les discussions ce Jeudi, plusieurs questions viennent à l'esprit :
- Le manager dispose-t-il des ressources nécessaires pour exécuter au mieux sa mission et remplir les objectifs ?
- Qui fixe ces derniers ? Sont-ils réalistes ?
- La culture de l'entreprise en question facilite-t-elle ou freine-t-elle cette exécution ?
- Le bon manager est-il forcément excellent dans l'exécution ? Un mauvais manager peut-il l'être aussi ?
- Quels critères pour évaluer la performance du manager ? Sont-ils exclusivement quantitatifs ?
- A quel moment tombe-t-on dans l'excès de critères d'évaluation ?
- L'évaluation des compétences dures est-elle équilibrée par rapport à celle des compétences douces ?
- Existe-t-il un fit culturel entre le profil du manager et l'organisation en question ?
- Est-il nécessaire/efficace de dire qu'un manager est bon ou mauvais ?
- Les équipes managées, soit en interaction régulière, sont-elles les mieux placées pour aider un manager à progresser ?
- Un manager recruté doit-il être forcément être bon sur le papier (avant prise de poste) ?
- Le court-termisme ne va-t-il pas dans le sens d'évaluations prématurées et d'accumulation de coûts d'opportunité ?
- Existe-t-il un temps optimal et disponible pour que le manager puisse faire son auto-formation, ses auto-critiques, etc ... ? Comment définir ce temps optimal ?
- La santé et la performance des équipes signifient-elles toujours que le manager est bon ?
- Avec l'importance grandissante de la Responsabilité Sociale d'Entreprise et de la rétention des salariés, quels nouveaux critères d'évaluation mettre en place ?
- Le bon manager a-t-il nécessairement des qualités supérieures en leadership ?
- Le management prévaut-il sur le leadership ?
- Si l'on raisonne en termes de potentiels, sur quels critères partir pour identifier le "Futur Bon Manager" ?
- Comment amener un bon manager à le rester le plus longtemps possible ?
- Finalement, le bon manager est-il surtout celui qui gère au mieux les situations exceptionnelles ?
- Bon ? Mauvais ? A quel moment part-on dans le perfectionnisme contre-productif ? Dans la recherche de progrès ?
- Les études supérieures en Management nous apprennent-elles à être de bons managers ?
- Les expériences de la vie (professionnelle comme personnelle) nous apprenent-elles à être de bons managers ?
- Quelles différences entre un manager au 20è siècle et un autre aujourd'hui en 2011 ? Entre un manager en 2006 et un autre en 2011 ?
(crédit photo)