Le capitalisme a un visage. En informatique le côté obscur de la force c'était Bill Gates et la vilaine marque Microsoft qui s'infiltre partout avec arrogance (c'est comme dans l'ancienne URSS, le PC est partout). Le prince charmant c'est Steve Job (ô ciel l'homme à la pomme !) et la douce marque Apple. On célèbre le culte informatique schismatique dans des Apple Stores, temples d'un blanc immaculé où officient de jeunes prêtres-vendeurs et où les prix des breloques ne sont pas très bon marché, mais le supplément d'âme ça se paye. Or donc, le gars Steve quitte son job. Il démissionne de poste de CEO (PDG en langage vulgaire) de la marque à la pomme et cède la place à son dauphin Tim Cook qui n'est pas pauvre comme Job et qui devient le gay le plus influent de la galaxie. Comme une légende urbaine voudrait que le logo de la firme (qui a perdu sa couleur arc-en-ciel en 1998) soit une référence au suicide du mathématicien homosexuel Alan Turing, la boucle est bouclée.
Le capitalisme a un visage. En informatique le côté obscur de la force c'était Bill Gates et la vilaine marque Microsoft qui s'infiltre partout avec arrogance (c'est comme dans l'ancienne URSS, le PC est partout). Le prince charmant c'est Steve Job (ô ciel l'homme à la pomme !) et la douce marque Apple. On célèbre le culte informatique schismatique dans des Apple Stores, temples d'un blanc immaculé où officient de jeunes prêtres-vendeurs et où les prix des breloques ne sont pas très bon marché, mais le supplément d'âme ça se paye. Or donc, le gars Steve quitte son job. Il démissionne de poste de CEO (PDG en langage vulgaire) de la marque à la pomme et cède la place à son dauphin Tim Cook qui n'est pas pauvre comme Job et qui devient le gay le plus influent de la galaxie. Comme une légende urbaine voudrait que le logo de la firme (qui a perdu sa couleur arc-en-ciel en 1998) soit une référence au suicide du mathématicien homosexuel Alan Turing, la boucle est bouclée.