“Vers ou proses, les poëmes sont des créatures ; et qui vivent ; qui respirent ; qui sont pleines d’organes ; qui mourraient d’un mot coupé.
Créatures plus qu’humaines, filles peut-être éternelles de l’esprit qu’elles dépassent ; enfantées mais non préconçues.”
(extrait de la première version, parue en 1916 - on trouvera la seconde version ici)