Pour le dirigeant lillois, le premier fautif est le joueur qui avait donné sa parole au LOSC : « La signature est importante mais l’engagement moral aussi. Je n’ai jamais vu un truc pareil. Même quand Gignac nous a plantés, il a eu la décence de nous prévenir et de ne pas se pointer à Luchin » a-t-il déclaré dans les colonnes de l’Equipe.
Frédéric Paquet en profite également pour tacler Arsène Wenger, le manager d’Arsenal : « Celui qui est à blâmer, c’est le joueur. Mais ce n’est quand même pas très glorieux de la part de Wenger. Il avait le droit de le faire mais ce n’est pas très classe pour quelqu’un qui donne toujours des leçons de morale » a-t-il ajouté.
Tags: