Quoi de neuf cette semaine dans l’actualité? Côté politique provinciale, on entend encore parler des problèmes à l’intérieur du Parti québécois et de Pauline Marois (bien entendu, les deux vont ensembles). J’aimerais bien que le Québec soit maître de son destin, mais comme les médias nous le rappellent constamment, ça brasse beaucoup trop dans le camp souverainiste. Hélas, le parti qui a déjà rallier les gens à la cause repousse maintenant les gens comme la lèpre.
Selon moi, c’est en très grande partie à cause de sa chef Pauline Marois. Je ne m’identifie aucunement à elle. Je n’aime pas son attitude et sa manière de faire. Je trouve qu’elle manque de leadership, qu’elle n’est pas capable de lire les intérêts et les craintes de la population et qu’elle ne veut pas s’adapter au contexte actuel. Les jeunes sont répugnés par son attitude et la population parle de son manque flagrant de leadership. De leur côté, les péquistes en parlent tout bas. Certains ont démontré clairement leur mécontentement (les démissionnaires) et ont bien fait de le faire. Ces personnes ont la souveraineté à coeur et ils sont capables de voir que dans son fonctionnement actuel, le Parti québécois n’arrivera jamais à son but ultime (du moins, s’il n’est pas remis au goût du jour). Je considère qu’ils ont mis en quelque sorte leur carrière en jeu pour une excellente cause et je leur lève mon chapeau. Ce sont de vrais politiciens!
Suite à cela, j’en viens souvent à me demander: Pourquoi est-elle chef du parti? Est-ce une question d’expérience, d’ancienneté ou bien tout simplement un manque d’alternative? Ce que l’ont sait maintenant, c’est que Pierre Curzi a manifesté son intérêt pour le poste. Pour se proposer ouvertement de la sorte, je considère qu’il est convaincu que Pauline n’est pas la bonne personne.
La souveraineté n’est pas à notre porte. J’ai hâte comme plusieurs de voir du changement…