genre: film de combat
année: 2009
durée: 1h35
l'histoire: Chun-Li est initiée aux arts martiaux grâce à son père et mène une vie paisible. Jusqu'au jour où Bison enlève son paternel. La jeune femme engage alors un combat contre ce nouvel ennemi et son organisation.
la critique d'Alice In Oliver:
Hum... Le bel étron flotteur que voilà ! Après un premier épisode nanardeux mais finalement sympathique, les producteurs ont la mauvaise idée de proposer un second film. Mais attention, il ne s'agit pas vraiment d'une suite.
Comme l'indique le titre, Street Fighter, la légende de Chun-Li, il s'agit de l'histoire d'une jeune femme, donc, Chun-Li (comme si vous n'aviez pas deviné...), qui combat l'organisation de Bison, un criminel , entre autre responsable de la mort du père de cette dernière.
Il faut bien l'admettre, le premier film (avec Jean-Claude Van Damme) était tout de même assez médiocre et tentait de mettre maladroitement en avant tous les personnages du jeu vidéo.
Street Fighter, la légende de Chun-Li réussit à faire pire que son prédécesseur ! Ce qui n'est pas un mince exploit.
Ici, on ne retrouve presque aucun protagoniste du jeu vidéo, qui a fait un malheur dans les années 90 et au début des années 2000.
En gros, on retrouve bien sûr Chun-Li, une guerrière asiatique au visage très européen par ailleurs (argh !), Vega, Balrog et Bison. Sinon, c'est tout !
Pour le reste, le film est plutôt avare en terme d'action et de séquences de bastons. D'ailleurs, ce n'est pas plus mal.
Sincèrement, les scènes de combats sont pour le moins risibles. C'est également très mal joué, mais le film réunit quelques acteurs de bas de gamme, qui devaient pointer au chômage: l'insipide Kristin Kreuk et le fadasse Chris Klein, un mec que l'on avait pu voir dans l'abominable Trop, c'est trop !
En même temps, que pouvait-on attendre d'un film réalisé par Andrzej Barthowiak ? Pour mémoire, ce tâcheron, au nom imprononçable, a signé Roméo doit mourir et Doom. Comment ça, beurk ?
Bon, sinon, je n'ai rien d'autre à rajouter sur cet étron flotteur. Ah si, paraît-il qu'une suite est envisagée... Oh, mon dieu !
Note: