Il semble qu’au royaume des enseignants vaudois, ce genre de droits élémentaires n’existent que si les grands et petits chefs en décident ainsi.
Actuellement, on murmure en effet que, non seulement les enseignants vaudois sont très clairement priés de ne pas s’exprimer par écrit ou de prendre la parole publiquement au sujet de la prochaine votation du 4 septembre.
Mais qu’en plus affichettes, mots d’ordre et autres discussions sur le sujet soient officiellement bannis des salles des maîtres.
Drôle de conception de la responsabilité individuelle et du droit d’expression.
En tous cas, une attitude éclairante sur les méthodes néo-staliniennes du Département de la Formation, de la Jeunesse et de la Culture vaudois.