Aucune réponse autre que policière n’a été donnée jusqu’ici par les autorités. Le climat inédit de répression que connaît le Chili depuis deux mois et demi interpelle les amis de ce pays et de son peuple.
Le Parti socialiste rappelle que l’éducation n’est pas un bien de consommation, mais un droit universel. Il comprend et soutient les revendications exprimées par les étudiants chiliens. Il appelle le président Piñera et sa majorité à ouvrir sans délai un dialogue avec leurs organisations représentatives et à suspendre les mesures répressives rappelant une époque tragique de l’histoire chilienne que l’on pensait dépassée.