Note globale: 12/20 ♥♥
Date de sortie: 17 août 2011
Réalisateur: Joe Johnston
Acteurs principaux: Chris Evans, Hayley Hatwell, Sebastian Stan
Durée: 2h03
Synopsis (Allociné) : Captain America: First Avenger nous plonge dans les premières années de l’univers Marvel. Steve Rogers, frêle et timide, se porte volontaire pour participer à un programme expérimental qui va le transformer en un Super Soldat connu sous le nom de Captain America. Allié à Bucky Barnes et Peggy Carter, il sera confronté à la diabolique organisation HYDRA dirigée par le redoutable Red Skull.
Ce que j'ai pensé du film: voici encore un super-héros Marvel, on va finir par faire une overdose. "Captain America" est un héros sans véritable pouvoir, juste un jeune homme qui développe de très gros biscoteaux, suite à une expérimentation au profit de l'armée américaine (Déjà, c'est pas mon héros préféré^^). Hélas le contexte de l'histoire est de nos jours tellement exploité, qu'il est difficile de voir une quelconque finesse dans le scénario: le méchant nazi très diabolique, le gentil américain très courageux. On reste dans l'esprit comics, mais ici le résultat est moyen. En effet, si l'adaptation reste sérieuse et sûrement réussie, elle ne s'accorde aucune subtilité. Tout est bien lisse, jusqu'à la coupe de cheveux de Chris Evans (bien mieux en torche humaine par ailleurs). Je n'ai donc pas trouvé l'histoire très captivante (scénario très mince), et l'action pas très percutante, en comparaison avec d'autres films du genre (Thor, Iron-Man, X-Men). Cependant, en tant que blockbuster estival, "Captain America" reste un divertissement qui fait passer du bon temps, avec une réalisation honnête.
Réalisation: OOOCO
Scénario: OOOOO
Rythme: OOOOO
Acteurs: OOOOO
Humour: OCOOO
Intéressant? Non
Divertissant? Oui
3 bonnes raisons pour aller voir ce film au cinéma:
- une adaptation réussie sur la forme
- une surprise à la fin du générique
- les fondues
3 bonnes raisons pour quitter la salle avant le début du film:
- un scénario assez creux
- une 3D inutile
- ridicule sur les bords