" On commence par une "impression". Une histoire, une vision, ce que l'on vient de voir, un souvenir. Quelque chose qui vient du dehors et de derrière soi. On y donne un "sens" parce que la structuration a sûrement déjà commencé dès qu'on a donné sa place à ce surplus de couleur. Le commencement est toujours sa propre mort. Peut-être contient-il toujours le noyau de quelque chose - mais jamais ce que l'on considère soi-même comme noyau - de cette chose qu'il faut reconquérir.[...] Il faut donc perdre quelque chose que l'on ne connaît pas et partir en guerre sans raison." Per Kirkeby in Excursions and expeditions
Je refeuillette en ce moment avec le plus grand intérêt les différents catalogues de ce peintre que je possède. Evidemment, sa façon de représenter le végétal, en dépassant tout en l'accueillant, le néo-expressionisme est très féconde pour moi en ce moment. J'aime ses structures somme toute simples, ses couleurs assombries, ses clairs-obscurs de sous-bois...Et puis, j'éprouve quelque chose quand je regarde ses toiles. Oui, indéniablement l'un de mes phares...
un article en anglais à l'occasion d'une exposition à la Tate modern