C'est amusant de voir les politiques de tout bord ou encore les chefs de gouvernement fulminer contre les agences de notation. Comique, cette obstination à vouloir à tout prix casser le thermomètre quand il indique une température trop élevée.
Je les trouve très (trop ?) tolérantes depuis fort longtemps pour les États endettés jusqu'au cou depuis des dizaines d'années, d'autant qu'ils traffiquent leurs comptes d'une manière qui n'a guère à envier aux Enron et compagnie.
Bref, cessons de nous en prendre aux thermomètres et occupons-nous du mal. Consolation, entre deux diatribes, la plupart des politiques semblent l'avoir compris en France, puisque les voilà tous à proposer leurs solutions.