A 1 h 30 de Paris en TGV, invitez-vous dans le vignoble Anjou-Saumur, au cœur du Val de Loire inscrit au patrimoine mondial de l’UNESCO!
En Anjou, 30 appellations se côtoient en toute complicité. Blancs, rouges, rosés, moelleux, secs ou demi-secs, tranquilles ou à fines bulles, les vins d’Anjou se déclinent aujourd’hui sur tous les tons, toutes les couleurs. Ajoutez à cela une palette de cépages d’une extrême richesse (chenin, cabernet franc, cabernet sauvignon…), une variété de sols entre schiste et tuffeau, et vous comprendrez pourquoi ce vignoble peut s’enorgueillir d’être le plus diversifié du Val de Loire…
Plus d’infos sur les vins et cépages de l’Anjou
Histoire du vignoble Anjou-Saumur en Val de Loire
Vers l’an 600, l’historien Grégoire de Tours est le premier à évoquer les vignes de l’Anjou, plantées vraisemblablement par les prélats au IVe siècle. Le vignoble suit la progression du christianisme et des églises au gré des défrichements. Son histoire est intimement liée à celle de la province. De fait, au XIIe siècle, les rois Plantagenêt donnent un sérieux coup de pouce aux vins d’Anjou en leur ouvrant la Cour d’Angleterre et les marchés de l’Europe occidentale. La vigne longe d’abord la vallée de la Loire, entre Saumur et Angers, avant de se répandre sur les coteaux du Layon et du Saumurois.
Le roi René sera aussi un grand ambassadeur des vins d’Anjou : « Des trois vins de mon cellier, Anjou, Lorraine et Provence, le meilleur est mon premier. La Loire est alors l’axe privilégié du commerce viticole, que les Hollandais s’empressent de développer dès la fin du XVe siècle. Amateurs de vins fins et d’alcools, les marchands du nord installent des comptoirs à Chalonnes-sur-Loire, aux Ponts-de-Cé, Juigné-sur-Loire, Saumur et Parnay.
Plus d’infos sur l’histoire et l’évolution du vignoble d’Anjou
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