Les pinards AC/DC

Par Estebe

Bien le bonjour, les hardeux

Vous écoutiez AC/DC en boucle (en secouant très fort la tête de droite à gauche et en cadence).
Vous vous habilliez comme AC/DC (notez que le short, par ces chaleurs, ça ventile aimablement le périnée).
Vous raisonniez AC/DC, même (poum tchak, poum poum tchak).

Ben, vous allez pouvoir... picoler AC/DC.Oui, Madame.


Les quinquas du hard (ou quinquhard), voire sexagénaires du hard (ou sexhard… hum), lancent en effet une gamme de pinards à leur effigie. Du vin australien bien sûr, dont chaque cuvée porte le nom d’un des tubes du groupe. Tiens, passe-moi la bouteille du cabernet Highway To Hell. L’était assez frais le sauvignon Hell's Bells? Oui, plus en tout cas que le muscat You Shook Me All Night Long.
Non, non, non: on n’invente rien. Guignez donc les étiquettes.
Même si le Dr Slurp ne peut cacher une fort ancienne tendresse pour ce bruyant quintet des Antipodes, il aurait tendance à se méfier desdits breuvages. Le gros rock qui tache, une fois mis en bouteille, tache probablement plus encore.
L’initiative n’en demeure pas moins commercialement avisée. Et l’on encourage nos idoles de la chanson francophone à l’imiter presto. Annie Cordy, par exemple, devrait lancer un rosé Tata Yoyo et un blanc Frida Oum Papa. Voire un bourgogne grand cru: le Beaune du curé. Warf.
Veuillez agréer, blabla blabla

PS: Notez que le pif hard ne date pas des dernières vendanges de décibels. Visez plutôt ces boutanches moustachues.