Bon, je suis encore en vacances. Mais je suis rentré du Forez, qui était sous une canicule qui rendait les journées franchement difficile : c'est chouette d'aller marcher au milieu des vaches et des cochons, mais quand le thermomètre affiche des températures que d'habitude il se refuse à afficher en de pareils coins, c'est... C'est dur.
Ici, dans le Gard, le bourgeois que je suis (et qui n'a aucune honte à l'être) a une piscine. A 31°C aujourd'hui, autant dire qu'elle fut très agréable.
Le livre à coté de la bière, c'est la promesses de ténèbres ou un truc comme ça de Maxime Chattam. J'ai commencé : c'est bien écrit. Le héros est un gars évoqué lors de sa trilogie originelle... Bon, pour l'instant, je souhaite à ce livre d'être aussi bon que les Steve Berry ou Giacometti-Ravennes que je me suis dévoré gloutonnement pendant le début de mes vacances...
Donc je suis de retour. Vais je bloguer plus, et pour autre chose que poster des photos cochonnes ou bovines ? Peut être, je n'en sais rien. Et je m'en fous : on verra ça demain.
Politiquement, y aurait sans doute pleins de trucs à dire. Parler de l'interview très bonne de Raffarin aujourd'hui sur Aujourd'hui en France. Répondre à des blogueurs de gauche que je ne citerai pas et qui m'interpellent dans des billets pleins de tolérances sans me citer non, mais est ce nécessaire de s'emmerder à répondre à l'insulte ?
Parler du reste, de la bourse qui s'effondre. Des indignés espagnols qui devraient plutôt s'appeler les "intolérants". Des Verts qui ont fait leur congrès avec Eva Joly, et qui me font penser que voter à gauche, c'est aussi voter pour un pouvoir avec dedans des vrais morceaux de Verts et de Mélenchon, et que ça ne m'attire vraiment pas...
Oui, il y en a beaucoup de choses à parler. Même de rugby, et d'ailleurs sur le blog que je co-anime en ce moment avec mon ami Homer, j'en parle en rendant un modeste hommage à Rémy Marconnet qui est un homme que j'aime beaucoup...
Je rentre d'une semaine dans un Forez qui est vraiment différent quand une canicule le rend étouffant. Mais bon, la prairie reste belle, et les vaches... Qu'elles sont belles, les vaches....